3 conseils pour maîtriser AutoCAD


Actualité publiée le 26 mai 2023

AutoCAD est une application de dessin assisté par ordinateur qui tire son épingle du jeu grâce à son universalisme et ses potentialités créatives. DAO et CAO sont proposés et il est possible de travailler en 2D comme en 3D. Édité par Autodesk Inc, AutoCAD est un incontournable de la conception graphique numérique : zoom sur trois conseils pour commencer à maîtriser l’interface. 

 ordinateur

 © Pixabay

Maîtriser AutoCAD et connaître AutoDesk 

 

L’éditeur d’AutoCAD a conçu ses produits afin de faciliter leur utilisation pour les professionnels de la création graphique. Cet ensemble de supports de travail fonctionne donc parfaitement en interaction : on peut travailler sur des éléments différents d’un même projet via les divers logiciels de l’éditeur sans compromettre les fichiers à l’envoi. Autodesk propose ainsi plusieurs produits dans la gamme d’AutoCAD, qu’il est conseillé de savoir maîtriser pour tirer le meilleur parti de la puissance créative des supports. 

 

À ce titre, on peut utiliser : 

 

– DWG TrueView, qui est un outil de visualisation sous la forma DWG. Sachez que la version 2009 d’AutoCAD permet de mesurer distances et surfaces. 

– DWG TrueConvert : qui permet de convertir les fichiers de diverses versions en DWG. 

– Design Review : concurrent du PDF, maîtriser cet outil permet de lire et d’annoter le format DWF, ce qui simplifie considérablement le travail en équipe. 

AutoDesk

 © Flickr

Maîtriser AutoCAD : gagner du temps 

Dans le milieu professionnel, on considère que maîtriser AutoCAD, c’est savoir tirer le meilleur parti de la puissance créative et de modélisation de l’outil, mais également de savoir travailler rapidement sur l’interface. Les professionnels de la DAO / CAO sont soumis à des contraintes très exigeantes et à ce titre apprennent rapidement à utiliser les raccourcis du logiciel : 

 

– Touche C : outil Circle : créer une forme cercle. 

– Touche B : outil Block (créer un bloc / sélectionner des objets). 

– Touche T : créer une zone de texte. 

– Touche M : outilMove qui permet de bouger les objets sur une distance prédéfinie et selon une direction indiquée dans le paramétrage de l’interface (unique à chaque projet et chaque objet). 

– Touche D : outil Dimstyle, qui permet de créer et de modifier les dimensions des objets catégorisés en Styles. 

 

Pour plus de confort de travail, AutoCAD propose aussi des outils de basculement et des options double écran : Ctrl + E fait par exemple défiler les plans isométriques et Ctrl + I active / désactive les coordonnées. Par ailleurs, l’écran est géré par un raccourci double, par exemple, la palette des propriétés s’ouvre par Ctrl + 1 et le mode dessin active / désactive le mode 3DOsnap par F4. 

 

Conseils pratiques et aides sur AutoCAD 

 

Professionnels comme débutants, il est conseillé de ne pas hésiter à ouvrir l’aide sur AutoCAD, au moyen de la touche F1 du clavier. Le manuel d’utilisation fourni par l’éditeur est détaillé et très facile à prendre en main. Photographies, schémas, explications argumentées sont en mesure de vous guider dans l’exploration de l’interface. 

 

Attention, néanmoins, ces aides automatiques et les divers cours gratuits qui pullulent en ligne ne sauraient remplacer une véritable formation professionnelle à la maîtrise d’AutoCAD. Les experts du design, de la création visuelle et de l’architecture suivent des formations de haut niveau qui se déroulent sur plusieurs années afin de véritablement maîtriser l’application professionnelle. 

 

L’EFET STUDIO CRÉA permet à ce titre à ses étudiants en Design Graphique et Numérique ainsi qu’en Architecture et Décoration d’Intérieur de maîtriser les meilleurs outils du marché professionnel de la DAO / CAO. 

 

Maîtriser AutoCAD est devenu une compétence requise par les recruteurs des métiers du design : création graphique, packaging, communication visuelle et architecture. 

Le premier architecte de l’histoire


Actualité publiée le 22 mai 2023

L’architecture est une discipline qui remonte à l’Antiquité, durant laquelle les bâtiments étaient construits avec des matériaux naturels tels que la pierre, le bois et la terre. Le premier architecte de l’histoire est un personnage mystérieux, dont l’existence est difficile à prouver avec certitude. Cependant, les historiens de l’art et de l’architecture s’accordent à dire que l’un des premiers architectes connus était Imhotep, un Égyptien qui a vécu il y a plus de 4 000 ans.

 

Imhotep

 

Qui était le premier architecte de l’histoire ?

Imhotep était un homme remarquablement intelligent et polyvalent qui a exercé de nombreuses fonctions dans l’Égypte ancienne. Il était le vizir du Pharaon Djoser, et était responsable de la conception et de la construction de la pyramide à degrés de Saqqarah. Cette pyramide est considérée comme la plus ancienne pyramide égyptienne.

 

La pyramide était un exploit architectural très impressionnant pour l’époque. Avec ses six niveaux et ses chambres funéraires complexes, la construction de ces monuments était une véritable innovation pour l’Egypte ancienne.

 

En plus de sa « casquette » d’architecte, Imhotep était également un médecin extrêmement cultivé. C’est pour ces mêmes raisons qu’il a souvent été considéré comme le père de la médecine égyptienne.

 

Imhotep a même déployé son art dans la poésie, étant poète et érudit. Ses écrits ont eu une influence considérable sur la littérature et la pensée égyptienne.

 

 

Quelques réalisations d’Imhotep

Imhotep a introduit de nombreuses innovations architecturales, notamment l’utilisation de la pierre taillée pour la construction des bâtiments, plutôt que de simples blocs de pierre brutes. Une idée révolutionnaire pour l’époque.

 

Durant sa carrière, il a également conçu des systèmes de drainage sophistiqués pour les bâtiments. Mais sa créativité ne s’arrête pas là. Il a aussi pensé des colonnes et des piliers qui ont influencé de nombreux styles architecturaux par la suite.

 

L’héritage d’Imhotep est toujours visible dans les bâtiments égyptiens antiques qui ont survécu jusqu’à nos jours, ainsi que dans les nombreuses autres pyramides qui ont été construites par la suite.

 

L’innovation et la créativité d’Imhotep étaient si conséquentes qu’elles ont inspiré de nombreux architectes au fil des siècles. Aujourd’hui, Imhotep est considéré comme l’un des grands penseurs de l’histoire de l’humanité.

 

Au-delà de l’Egypte ancienne, ses travaux ont également été étudiés par des architectes grecs et romains, qui ont incorporé ses idées dans leurs propres conceptions. Par exemple, la colonne dorique, un élément clé de l’architecture grecque, a été influencée par les colonnes égyptiennes que Imhotep avait conçues. Sa vie et son travail continuent d’inspirer les architectes et les penseurs du monde entier.

 

 

Etudier les figures de l’architecture est indispensable pour les étudiants de l’EFET STUDIO CREA. Forte de 50 ans d’expérience, l’école dispense un enseignement pointu, reprenant à la fois les bases de la discipline mais en se tournant aussi vers l’avenir, avec l’apprentissage de nouvelle technique et la formation aux nouveaux outils dont nous disposons aujourd’hui.

Verner Panton, l’avant-gardiste des années 50


Actualité publiée le 9 mai 2023

Verner Panton, c’est le designer qui fait basculer le design dans une dimension industrielle en ayant recours à la fabrication en série, rendue possible par l’apparition de matériaux nouveaux. Retour sur ses travaux et ses propositions à l’avant-garde de son temps.

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 © Creative commons – Libre de droit, création de Verner Panton

 

Qui est Verner Panton ?

Verner Panton (1926-1998), est un designer danois connu pour son style innovant et avant-gardiste. Panton suit une formation d’ingénieur architecte et étudie à l’Académie des beaux-arts de Copenhague, puis il fonde rapidement (en 1955) son propre studio de création.

 

Difficile à cerner, on situe parfois Verner Panton entre les courants modernistes-organiques, pop-alternatifs et psychédéliques. C’est qu’à ses débuts, Panton signe des modèles très pop, comme sa Heart Cone Chair de 1959. Il est aussi l’auteur de la Flowerpot en 1968, suspension unique en son genre qui le pousse à s’intéresser à la lumière artificielle, ses effets et les moyens de la maîtriser. Pour Verner Panton, les lampes jouent un rôle central dans l’aménagement d’intérieur. Bien plus que simples sources lumineuses, elles sont vues comme des objets poétiques qui contribuent à l’ambiance de l’espace.

 

Très dans l’air du temps, Panton délaisse un instant le design et travaille à des propositions d’habitat du futur. Ses projets Visiona et Visiona 2 (1968 et 1970) sont une véritable invitation au voyage fantastique et spatial (le premier homme a posé le pied sur la lune en 1969). L’intérieur ainsi conçu se veut libre d’utilisation, coloré, rembourré et sans normes.

 

 

Verner Panton : pourquoi l’avant-garde ?

Panton est parmi les premiers designers à s’emparer des évolutions technologiques des années 50 pour les utiliser dans l’élaboration de ses objets du quotidien. Avec la technique du thermo-moulé et l’utilisation du polyester et de la fibre de verre, il crée la fameuse Chaise Panton, à l’assise courbe, au dossier estompé et dont les pieds ont disparu.

 

Véritable vague colorée en un seul moule, c’est à la fois une prouesse technique et une révolution du concept même de la chaise. Dès 1967, c’est le premier modèle d’assise qui est fabriqué par le procédé de moulage à injection de mousse de polyuréthane. Cette technique permet d’instaurer une production en série, ce qui ouvre la porte du design industriel tel qu’on le connaît aujourd’hui : une forte capacité de production propre à fournir au maximum d’individus des objets visant à améliorer leur confort au quotidien.

 

Ce qui caractérise le style avant-gardiste de Panton, c’est qu’il propose des formes très à l’opposé du confort typiquement danois en place dans les années 50. Couleurs, fantaisies, expérimentation des formes et des matières : Verner Panton s’essaye à tout avec succès. Il parvient même à s’approprier de nouvelles méthodes de production, jusqu’ici réservées à d’autres secteurs de l’industrie.

 

Comme Verner Panton, il faut se former pour devenir designer. L’idéal est de suivre une formation spécialisée dans un établissement reconnu et qui propose des cursus en alternance. Par exemple, l’EFET Studio Créa offre des parcours universitaires d’exception assortis de nombreux stages pratiques en immersion.

 

Avec Panton, c’est la première fois que le design s’industrialise et utilise des procédés de fabrication révolutionnaires et les nouveaux matériaux issus des dernières découvertes en chimie.

Quelles études pour devenir designer d’intérieur ?


Actualité publiée le 2 mai 2023

Lorsque l’on désire devenir designer d’intérieur, il est important de se préparer à suivre une formation sur le long-terme en cinq ans minimum. Quelles études choisir pour s’assurer d’un emploi à l’obtention de son diplôme ?

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© Pixabay

 

Devenir designer d’intérieur : s’orienter rapidement

Pour réussir à faire carrière comme designer d’intérieur, il est important de commencer un parcours universitaire spécialisé dès l’obtention de son baccalauréat. En effet, le design d’intérieur est une discipline artistique et technique qui requiert plusieurs années de manipulation et de découverte afin d’être pleinement maîtrisée.

 

Pour devenir designer d’intérieur, il faut en effet savoir utiliser les techniques traditionnelles de l’architecture d’intérieur dont le dessin technique au même titre que le DAO. L’infographie, la photographie, le design de perspective et même l’architecture digitale sont des modules qui doivent être abordés régulièrement et de manière approfondie. Le design d’intérieur correspond en effet à une mutation de l’architecture d’intérieur, qui inclue les nouvelles technologies et la réalité virtuelle et qui s’applique dans l’espace urbain, digital ou intérieur.

 

C’est pour ces raisons que les étudiants désireux de devenir designers d’intérieur optent pour des cursus spécialisés en cinq ans. Ces parcours d’études s’initient par un cycle de trois ans : le Bachelor spécialisé en design et architecture d’intérieur. Proposé au sein d’une école spécialisée, ce premier diplôme offre de se constituer une solide base de connaissances fondamentales en la matière, surtout qu’il se déroule selon la modalité de l’apprentissage en alternance.

 

Culture architecturale, maîtrise du digital, anglais, histoire de l’art, programmation et même motion design, il est impératif que le programme du Bachelor soit très complet afin de véritablement permettre de devenir designer d’intérieur.

 

 

Zoom sur les mastères spécialisés pour devenir designer d’intérieur

Naturellement, un Bachelor ne permet pas d’exercer comme designer d’intérieur, le métier n’est accessible qu’après un parcours d’études complet en cinq ans. C’est à l’issue d’un mastère spécialisé qu’il est possible de trouver un emploi, à condition que le titre délivré soit reconnu par l’État et qu’il s’accompagne d’une reconnaissance de formation de la part du CFAI (Conseil Français des Architectes d’Intérieur).

 

Le mastère spécialisé consiste en un cycle de deux ans qui comprend des apprentissages approfondis des disciplines du design (graphique et numérique) et de l’architecture d’intérieur. Il s’agit d’un diplôme à visée pratique, qui vise à l’apprentissage concret d’un métier et en ce sens doit proposer de multiples modalités d’entraînement (rythme en alternance, workshops, projets professionnels, etc).

 

Ce qui est important pour devenir designer d’intérieur, c’est que le cycle de mastère spécialisé permettre d’explorer en profondeur la technique de la conception de projets et qu’il offre de maîtriser les outils pour travailler comme indépendant. Ainsi, il est préconisé de privilégier une formation qui comprend des modules d’apprentissages comme la conception de projet, des ateliers de maquette, maîtrise des logiciels professionnels (comme Sketchup), des notions de gestion d’entreprise et de réglementation, etc.

 

Sachez que l’essor du digital a fortement impacté la filière du design et de l’architecture d’intérieur. Il existe aujourd’hui (uniquement au sein des meilleures écoles spécialisées) des mastères en Digital Architecture. Ces formations permettent de devenir designer d’intérieur spécialisé dans le numérique et d’évoluer dans la sphère virtuelle : métavers, intervention sur des jeux vidéo, manipulation de la réalité virtuelle, etc.

 

 

L’EFET Studio Créa propose un Bachelor en Design et Architecture d’Intérieur qui peut être complété par un mastère spécialisé en Architecture Digital ou un Mastère Design et Architecture d’Intérieur. Toutes ses formations bénéficient de l’apprentissage en alternance et permettent de véritablement devenir designer d’intérieur à l’issue de son diplôme.

Désormais, le designer d’intérieur se doit de savoir travailler dans toutes les filières de l’industrie au même titre que dans les environnements virtuels.

Quel rapport entretient le design à l’innovation ?


Actualité publiée le 25 avril 2023

L’innovation change le monde en lui apportant des nouvelles technologies et en modifiant les comportements humains. Le Design, dans ce contexte apparaît comme un outil de l’innovation et une composante des évolutions qu’elle induit. C’est aussi un excellent moyen de déterminer où se situent les prochaines potentialités d’innovations qui vont acquérir l’intérêt du public. Alors, comment définir ce rapport double entre design et innovation ?

design innovation

© Pixabay

 

Pourquoi le design et l’innovation ont-ils un rapport proche ?

Le Design, longtemps perçu comme une discipline des arts appliqués qui ne concernait que l’esthétisme des objets, s’intéresse de près à la technique et la fonctionnalité des articles qu’il crée. Il cherche à apporter du sens dans l’utilisation des objets, et à contribuer à accompagner la transformation du monde.

Le Design imagine donc les nouvelles façons de vivre en simplifiant la vie de l’Homme grâce à l’utilisation de la technologie. Afin de constamment élaborer des propositions dans l’air du temps, le Design va même jusqu’à dépasser l’état des technologies contemporaines pour les améliorer et les développer, contribuant de ce fait à l’innovation.

 

Dans son processus d’élaboration, le Design contemporain laisse une très grande place à l’innovation collaborative, là où sa forme traditionnelle déléguait cette réflexion qu’aux ingénieurs. Dans un processus d’amélioration continue, il fait intervenir au sein d’un même projet un grand nombre des métiers acteurs de l’innovation?: ingénieurs, architectes, designers, graphic designers, managers, etc.

 

Les très grandes mutations technologiques rendent en effet les processus créatifs très complexes, il n’est plus possible que les compétences requises pour créer des objets soient détenues par une seule et même personne. Le rapport entre le Design et l’innovation se fait donc pluridisciplinaire. Les entreprises s’appuient sur des équipes diversifiées, en cherchant à favoriser des processus participatifs propres à la méthodologie du Design.

 

 

Le Design : une méthode porteuse d’innovation

Le Design est une méthode de résolution de problème unique. Elle consiste à partir des attentes des utilisateurs finaux pour déterminer la fonction et l’esthétisme d’un produit. En adoptant une approche centrée sur les désirs du public, le Design s’assure de créer des articles véritablement en phase avec les attentes de sa clientèle. Ce faisant, il garantit le succès de ses nouveautés et débusque les nouveaux secteurs propices à l’innovation.

 

Dans son approche même, le design entretient donc un rapport de promiscuité avec l’innovation. En effet, pour adopter la méthode propre au Design, les professionnels débutent leurs travaux en étudiant attentivement leur secteur et leurs consommateurs. Ils définissent des personnaes, des grandes catégories de profils où sont regroupés les individus en fonction de leurs goûts, leur âge, leurs attentes techniques, etc. Cette étape n’est possible que grâce à une enquête technique de fond, qui conduit les designers à véritablement prendre conscience des leviers de développement et des potentialités de croissance de leur secteur d’activité.

 

En faisant intervenir des corps de métier pluridisciplinaires sur un même projet, le Design favorise considérablement l’intelligence collective. Il contraint presque les grandes multinationales à adopter un point de vue intégratif et parfois contradictoire. Cette ouverture d’esprit colossale (et auparavant impensable) aboutit à trouver des leviers d’innovation jusqu’ici inexplorés.

 

Cette incroyable richesse du Design n’est possible que grâce au regroupement de professionnels aux profils variés. Tous ont cependant suivi une formation technique et professionnalisante de haut niveau en design d’objet, design industriel ou encore design graphique. L’EFET Studio Créa offre des cursus premium qui offrent à ses étudiants de véritablement s’imprégner du concept du Design. Les élèves participent à des projets professionnels et bénéficient de stages en alternance qui leur permettent de contribuer à l’innovation contemporaine.

 

Le design est un puissant outil de conception, qui fait intervenir toute la communauté dans le processus créatif : de l’utilisateur final au commanditaire, en passant par les créatifs et les ingénieurs.

Quelles sont les différentes formes de design ?


Actualité publiée le 18 avril 2023

Il n’existe pas une liste exhaustive des différentes applications du Design. En effet, la discipline regroupe tous les arts appliqués dont le but est d’allier esthétisme et fonctionnalité afin de résoudre des problèmes du quotidien. En revanche, il est envisageable de dresser un portrait généraliste des diverses formes de design.

formes de design

© Pixabay

Design : les principales formes

Le design peut s’appliquer à tous les domaines. Cependant, certaines formes de la discipline sont prépondérantes, car elles englobent un très grand nombre d’applications.

 

  • Le design de produit est la discipline qui améliore la fonctionnalité, le service ou le coût d’un article. Il facilite les déclinaisons de gamme et donne une véritable identité visuelle au produit en tenant compte des contraintes de fabrications dictées par le commanditaire. C’est une forme du design qui intègre des connaissances et des techniques en marketing et en commerce.
  • Le design de packaging est la forme appliquée exclusivement au conditionnement des produits (à usage professionnel comme de consommation courante). Le designer travaille sur la forme de l’emballage, qu’il met en cohérence avec l’article, mais aussi les valeurs de la marque et les objectifs marketing qui lui ont été transmis.
  • Le design d’espace et d’environnement à trait à la conception des lieux et des espaces. Il fait appel à de solides connaissances en urbanisme, architecture et scénographie. En agençant de manière fonctionnelle et optimale un espace, les designers sont en mesure d’augmenter les ventes d’un produit ou de rendre plus attrayant et accessible un lieu public.

 

 

Quelles sont les nouvelles formes de design ?

L’évolution des nouvelles technologies et les recours plus nombreux aux experts du Design sous toutes ses formes ont permis l’émergence de nouvelles disciplines.

Le design graphique est une branche qui ne cesse de se renouveler, grâce à l’évolution des logiciels informatiques de création. Il vise à créer une identité visuelle pour une entreprise ou une marque. Le designer produira les supports d’une charte graphique complète : aisément reconnaissable et porteuse des principes fondateurs de l’entreprise.

 

 

L’UX Design est une forme du design digital qui consiste à prendre en considération les retours des consommateurs quant à leur expérience d’utilisation d’une application numérique. En fonction de ce feedback, les UX Designers reprennent les éléments visuels et fonctionnels des interfaces sur lesquelles ils travaillent. Souvent lié au design de service, au design ergonomique ou au design sonore, il s’agit d’une discipline dont les enjeux sont cruciaux pour les entreprises qui souhaitent développer leurs activités.

 

 

L’EFET Studio Créa propose des cursus qui forment à l’exercice d’un métier dans le secteur du design sous toutes ses formes. Les étudiants bénéficient d’une pédagogie axée sur l’acquisition de compétences pratiques et suivent leur formation selon la modalité de l’alternance. Ils sont amenés à découvrir les diverses formes du design afin d’être libres de se spécialiser au cours de leur vie universitaire et professionnelle.

 

 

Grâce aux progrès exponentiels des nouvelles technologies, une nouvelle forme se dessine : le design sensoriel. Afin de pouvoir travailler au sein de ce secteur émergent, il est crucial de faire preuve d’une solide base dans diverses disciplines du Design en général.

Rough Design : un outil visuel de conception et de réflexion


Actualité publiée le 11 avril 2023

Le rough est une esquisse ou un croquis sommaire visant à présenter un projet publicitaire. Dans l’univers du design, des arts graphiques et de la communication visuelle, c’est un outil de conception très utilisé et qui répond à des codes spécifiques.

rough design  © Pexels

Design, communication et publicité : le concept du rough

Le rough est un croquis d’intention permettant de visualiser rapidement un concept grâce à une illustration rapide, mais suffisamment explicite. Il s’agit d’une esquisse qui constitue un véritable avant-projet à une campagne publicitaire, une affiche ou encore à un réel objet industriel (dans ce cas de figure, le rough peut même prendre la forme d’une maquette).

 

Si le rough ne doit pas être très détaillé, les designers qui l’utilisent comme outil de réflexion le colorent néanmoins. C’est qu’en publicité et en arts graphiques, la couleur a une importance considérable. Il est donc tout à fait naturel qu’une esquisse de projet présente ses futures teintes afin de véritablement incarner l’idée de son concepteur.

 

Le rough est utilisé quotidiennement par les professionnels du design, quelle que soit leur spécialité (d’espace, d’objet, graphique, etc). En effet, c’est un support qui s’adapte parfaitement aux dynamiques de la conception en design. Par exemple, avec la méthode du Design Studio, les membres d’une équipe de conception peuvent tous fournir leur rough (élaboré en quelques minutes) pour présenter leur pensée à leurs collaborateurs.

 

Une fois le projet validé, les designers vont se baser sur le rough pour commencer à travailler sur les logiciels professionnels de conception numérique, comme Photoshop.

Comment maîtriser la technique du rough design ?

La méthode du rough design est, nous l’avons vu, fondamentale dans le milieu du design professionnel. À ce titre, y ont recours les artistes, les illustrateurs de BD, les architectes et même les muséographes.

 

Pour maîtriser le rough design, il faut donc savoir dessiner, ou plutôt esquisser ses propres idées. Puisqu’il s’agit d’une technique du design professionnel, il est aussi nécessaire d’être capable de traduire en une illustration claire un projet technique. Pour y parvenir, le designer doit respecter les contraintes figurant au cahier des charges ainsi que les mécanismes de fonctionnement de l’objet à créer. Avec le rough design, l’objectif est de proposer un croquis qui sera à la fois réalisable matériellement et transposable sur les logiciels de conception graphique.

 

C’est pour ces raisons que le rough design est enseigné au titre des formations supérieures en design, arts graphiques, création numérique, communication ou encore architecture d’intérieur. À titre d’exemple, l’EFET STUDIO CRÉA propose des formations complètes en alternance qui permettent à la fois de découvrir la technique du rough design, mais également de l’utiliser à l’occasion de projets pratiques et de stages en alternance.

 

 

Plus qu’une projection dans le projet final, le rough offre un espace et un support de discussion pour les différents intervenants d’un projet. Il peut même résoudre des problèmes de technique et de conception, comme une mauvaise mise en page ou un mécanisme qui ne fonctionne pas.

Workshop Identité de Marque et Co-Branding


Actualité publiée le 6 avril 2023

Du 27 au 31 mars dernier, les étudiants de Mastère 2 de la filière Design Graphique & Numérique ont participé à un Workshop sur l’identité de marque et le co-branding. Encadrés par deux intervenants, Thierry Garat et Nguyen Gia Hung TRAN, ils ont travaillé en groupe le temps d’une semaine afin de créer. Retour sur cette semaine intensive.

identité de marque

 ©Pexels

 

Le sujet

L’agence de communication et design 360° DDB décide de missionner ses D.A graphiste sur des appels d’offres en création globale : naming, wording, stratégie de communication visuelle print, UX / UI et audiovisuel online et offline dans le cadre d’une série d’appels d’offres à la rentrée 2023.

 

A l’ère du 3.0 et de la nouvelle génération digitale, l’objectif est d’incorporer d’avantage les profils les plus proches des supports finaux afin d’éviter la déconnexion stratégique et de faire la part belle à la polyvalence. Parmi ses nombreuses missions, DDB pense le design intégral de campagnes en brand content, sur des univers très variés, depuis le premier brainstorming jusqu’au livrable.

 

Pour ce Workshop, les étudiants devaient choisir parmi 3 sujets :

 

  1. Nouveau service digital de commandes pour ingrédients de cuisine à domicile, KICOOK (marque fictive) existe sur le marché en version béta, mais doit se doter d’une identité de marque et d’une bonne stratégie de communication. Sa spécificité : livrer à domicile des ingrédients frais pour cuisiner soi-même sans se charger avec les courses traditionnelles (transports, queue…)
  2. Le média BLAST, LE SOUFFLE DE L’INFO a créé récemment un podcast, INFERNET. Sur un ton décalé et ludique, l’objectif de ce nouveau contenu est d’aborder les problématiques liées aux addictions et phénomènes socios-culturels liés à l’usage des réseaux sociaux à l’ère du digital 3.0 sur des contenus vidéos présentés par Pacome Thiellement.
  3. YAYOI KUSAMA est une artiste japonaise renommée ; performeuse, peintre, sculptrice, écrivaine, elle s’interroge sur la place du « moi » par l’usage quasi abusif de formes récurrentes dans ses compositions et vidéos ; petits pois de couleurs variés, matrices de formes évoquant la naissance. En collaboration avec le groupe LVMH / LOUIS VUITTON, elle décide de lancer un parfum de niche : ETERNITY, mentionnant son nom et apportant une touche olfactive à son univers. Elle présentera son parfum lors d’une exposition – retrospective interactive à la fondation LOUIS VUITTON à l’été 2023, et souhaite communiquer sur l’univers d’ETERNITY sur les réseaux et lors de l’évenement.

 

Pour répondre à leur sujet, les étudiants devaient réaliser une veille créative, une analyse de marque, puis monter un dossier d’intervention en signature de marque et branding design qui fera suite à ce speed-dating client par la présentation d’une signature et d’un visuel animé à destination des réseaux sociaux et affichage dynamique dans l’espace public (métro, rue, transports). L’idée est de privilégier une création graphique personnelle à 100%, du dessin typographique libre pour le logo et brandmark, à la réflexion des couleurs et matières, afin d’inscrire ces propositions dans la culture urbaine alternative et de trancher avec l’image lisse et trop photographique des campagnes habituelles.

Les rendus du Workshop

Après une première réflexion de stratégie globale individuelle sur un choix de marque parmi les 3 proposées, les étudiants devaient se mettre en binôme pour former une team créative et proposer une campagne complète sur 4 étapes :

 

  • Veille créative et Moodboard
  • Signature de marque : élaboration d’un logo charté, de son brandmark et de ses déclinaisons utilisables sur tous médias
  • Key visuals : conception de 6 keys visuals minimums pour positionner la campagne sur l’affichage urbain (print et dynamique) et les réseaux sociaux
  • Design audiovisuel / boucle animée : conception d’un visuel animé au format 1080 x 1920p pour les réseaux sociaux et un affichage dynamique urbain – durée : 10-30 sc au format mp4

 

Pour le livrable, les étudiants devaient réaliser un PDF, hiérarchisé, organisé et annoté contenant :

 

  • Un court texte d’intention créative, rappelant le contexte : concurrents, sociologie concernée et ses particularités avec quelles tendances visuelles alternatives l’agence représentera visuellement la marque / le média / l’évènement dans la future proposition et pourquoi.
  • Un moodboard / planche tendances représentant les tendances visuelles, couleurs, formes selon leurs analyses (intentions graphiques). Ils pouvaient également y mettre en scène certains éléments de leurs recherches de signature et keys visuals.
  • Les recherches créatives logo, brandmark et keys visuals : esquisses, expérimentations plastiques et numériques, dessin typographique pour la signature, brandmark, travail de rough pour les key visuels, éléments d’accompagnement pour les keys visuals et l’animation.
  • Leur signature définitive : logo final, exposition des formes dessinées mises en avant, lettrage, couleurs RVB et CMJN, déclinaisons couleurs / noir et blanc, choix de polices d’accompagnement (texte des futurs supports)
  • Les 6 key visuals mettant en scène leur signature et / ou brandmark destinés à des supports différents (print et digital).

 

Et bien entendu, ils devaient rendre une boucle vidéo d’animation simple pour le lancement et accompagnement sur les réseaux sociaux de la marque ou du produit, selon le sujet choisi.

 

Le lettrage de la signature ainsi que le logo final et les éléments des key visuals et de l’animation devaient être entièrement de la composition des étudiants. Ils ne devaient importer aucun élément pour le logo.

Quelques exemples de projets réalisés

Projet Gauthier Lecavelier & Kristen Xia

 ©Gauthier Lecavelier & Kristen Xia

 

 

Projet CHARLÈNE PORTA & ALEXIA GAUD

©Charlène Porta & Alexia Gaud

 

 

Projet FLE Pauline & JALLOUL Damien

©Pauline Fle & Damien Jalloul

 

 

L’EFET STUDIO CRÉA a à coeur de former ses étudiants en les faisant travailler sur des projets, des cas concrets, pour leur donner un aperçu de ce qui les attend après leurs études.

Quelles sont les missions d’un metaverse architect ?


Actualité publiée le 4 avril 2023

L’essor du métaverse a eu pour effet de créer une multiplicité de nouveaux métiers. Dans ce contexte, le métaversearchitect a pour mission principale de créer les espaces virtuels qui constituent cet univers. Quelles sont les missions du metaversearchitect et comment se former en vue de les relever avec succès ? 

visuel metaverse

© creative commons

 

 

Metaversearchitect : concevoir un univers viable 

Le metaversearchitect est un professionnel du développement et de la conception des espaces virtuels. Son objectif est de créer des éléments du design d’espace, des immeubles ou même des zones urbaines à destination du métaverse. Il aura donc pour mission de créer des éléments virtuels viables qui s’intègrent dans les univers qui constituent le métaverse. Il doit par conséquent respecter les règles, le design et l’aspect visuel spécifique à chaque cyberespace. 

 

Dans le métaverse, les utilisateurs ont aussi besoin d’espaces dans le but de pouvoir se rencontrer, de lieu de divertissement et d’échange, voire de locaux d’apprentissage. Le metaversearchitect est donc en charge de la conception de ces volumes, qu’il élabore afin qu’ils s’adaptent aux besoins de son client. 

 

Il doit également savoir reproduire des bâtiments et des espaces réels afin d’habiller le métavers. Par exemple, s’il doit reproduire la ville de Paris, il lui faudra créer en images de synthèse 3D et selon une perspective viable la Tour Eiffel et d’autres bâtiments emblématiques pour apporter une valeur ajoutée à son espace virtuel. Dans un monde imaginaire, il devra s’adapter aux principes de la perspective ou de la gravité inhérents à l’univers virtuel sur lequel il travaille. 

 

 

 

Metaversearchitect : une mission plus large que le monde virtuel 

L’intervention des metaversearchitects permet d’entrevoir des potentialités multiples dans le monde réel. Par exemple, on considère que leur travail permet de considérablement faire évoluer l’innovation architecturale et la préservation du patrimoine. 

 

En effet, ils interviennent sur des reproductions des monuments historiques qui reflètent à la perfection leurs spécificités architecturales ou leurs défauts. Grâce au très haut niveau de qualité des images de synthèse, les architectes du métavers peuvent effectuer des opérations de restaurations fictives. Cela offre d’estimer les résultats d’une restauration, d’en apprécier l’utilité, les bienfaits, ainsi que d’éviter des erreurs graves si elles avaient été menées sur un véritable bâtiment historique. 

 

Par ailleurs, la création architecturale virtuelle offre d’effectuer des tests dans un univers dématérialisé. Les propositions des metaversearchitects peuvent donc a posteriori être transposées dans l’univers physique. Ils évitent de nombreuses erreurs, car les professionnels bénéficient d’une première expérience d’utilisation. Ils savent au préalable sur quel point intervenir afin d’améliorer le bâtiment, connaissent le nombre de personnes maximal dans une zone publique ou un espace confiné, etc. 

 

Les potentialités infinies du métavers sont également une grande source de liberté en vue de créer des innovations utilisables dans la recherche spatiale. En s’affranchissant des règles classiques de la perspective ou de la gravité, on peut proposer des espaces designés pour les projets aérospatiaux ou des créations artistiques véritablement innovantes. 

 

 

 

 

Metaversearchitect : savoir travailler sur tous les supports numériques 

Le métaverse est constitué d’une multitude d’univers virtuels qui font appel à des technologies différentes?: 3D, réalité virtuelle, voire réalité augmentée. Les metaversearchitects doivent donc savoir manier tous ces supports afin de faire des propositions adaptées. 

 

Le metaverse constitue aussi un nouveau point d’interaction entre les utilisateurs (beaucoup désignent cette nouvelle forme de contacts par le terme expérience phygitale).  Pour les metaversearchitects, cette caractéristique est cruciale à prendre en compte. Le metaverse prend alors pour eux la forme d’un véritable marché émergeant. 

 

On voit déjà se développer dans le metaverse une forme d’investissement immobilier très rentable. Dans les univers virtuels, on s’échange déjà des terrains et des propriétés immobilières sous la forme de NFT. Le marché immobilier du métaverse a déjà été estimé à près de 1 milliard d’euros. Les metaversearchitects peuvent donc, grâce au métaverse, créer des bureaux, des maisons, des théâtres, des salles de cinéma et proposer leur création sous forme d’un NFT en vue d’obtenir une rétribution intéressante de la vente de leur production. 

 

L’essor du métaverse est donc venu bouleverser l’architecture traditionnelle. Aujourd’hui, les metaversearchitects n’ont plus besoin d’attendre que la création se concrétise dans la réalisation d’un bâtiment. Ils peuvent vendre leur production architecturale comme du contenu numérique original protégé par la technologie de la blockchain et obtenir une rétribution beaucoup plus immédiate et conséquente. 

 

 

 

 

Quelles sont les compétences des metaversearchitects ? 

Le metaversearchitect produit intégralement ses créations numériques. Il fait donc preuve de compétences en architecture traditionnelle et en développement graphique. Il sait créer et concevoir des bâtiments, des environnements virtuels ou reproduire des éléments existants dans la réalité. À ce titre, il maîtrise les techniques de la modélisation, de la texturisation et de l’habillage virtuel. 

 

Pour être en mesure de produire des créations spécifiques pour le métaverse, l’architecte digital maîtrise les contraintes du temps réel et de l’interactivité. Il dispose alors d’une très bonne base en histoire de l’art et de l’architecture et connaît la théorie du métavers et du cyberespace. 

 

Il peut aussi produire des espaces digitaux en 3D et même en 4D et, pour y parvenir, maîtrise les grands logiciels professionnels?: Blender, Autocad, Revit, etc. Les architectes digitaux ont par conséquent suivi un apprentissage aux méthodes de conception graphique et animée. Ils pratiquent aussi le dessin technique classique, maîtrisent la perspective graphique et savent des maquettes 3D ou en réalité augmentée. 

 

 

L’EFET Studio Créa propose en partenariat avec l’ICAN un Mastère Digital Architecture permettant de devenir metaversearchitect dès l’obtention de son diplôme. Grâce à sa pédagogie résolument axée sur l’acquisition de compétences pratiques et son rythme d’apprentissage en alternance, le cursus bénéficie de l’intérêt des recruteurs du secteur. 

 

Les metaversearchitects sont des experts du digital dont les compétences sont activement recherchées sur le marché de l’emploi. À ce titre, leur premier salaire avoisine les 35 000 € annuels bruts. Après quelques années d’expérience, le metaversearchitect peut obtenir une rétribution proche de  60 000 € annuel brut.

Pourquoi se lancer dans le design ?


Actualité publiée le 28 mars 2023

Le design regroupe de multiples disciplines et consiste en une approche méthodique et scientifique de résolution de problème. Secteur artistique, esthétique, mais étalement technique et rigoureux, pourquoi choisir de se lancer dans le design ? 

visuel se lancer dans design

© Pexels

Faut-il se lancer dans le design pour réussir ? 

Les designers professionnels en témoignent : le design est une discipline technique et artistique propre à l’épanouissement professionnel et personnel. C’est que les designers, quels que soient leur spécialisation ou leur niveau d’exercice, peuvent laisser lire cours à leur imagination dans les projets qu’ils suivent. UX Design, Desing Thinking, Design de produit ou d’espace sont des disciplines qui font intervenir des connaissances très techniques et requièrent une grande dose d’imagination. 

 

 

Le design consiste également en un univers aux multiples ramifications. Les débouchés professionnels sont nombreux, riches et variés. On peut alors travailler dans la mode, l’architecture, l’industrie ou même la conception et le packaging. On note également une hausse des recrutements de diplômés d’écoles de design dans des secteurs comme la communication visuelle, la scénographie, et ou encore le secteur automobile. 

 

C’est que se lancer dans le design permet de se construire un profil très attractif : créatif, technique, mais aussi rigoureux et méthodique. Les professionnels peuvent également choisir leurs modalités de travail : se faire embaucher ou exercer en indépendant. 

 

 

 

Se lancer dans le design : intégrer un secteur d’avenir 

Le design, c’est un domaine en pleine expansion, qui s’intègre à tous les secteurs de l’économie, de l’industrie et de l’innovation. En témoigne l’essor fulgurant de l’UX design, qui consiste dans les grandes lignes, à restructurer les produits numériques afin qu’ils puissent mieux répondre aux attentes des consommateurs. Les designers spécialisés redimensionnent alors les bannières et les boutons de clic, les menus des sites et les adaptent à une bonne navigation sur mobile. Le champ de développement de l’UX Design est colossal et il tend à s’élargir encore plus en raison de l’essor des technologies de la réalité augmentée. 

 

 

Mais le design et son omniprésence ne touchent pas que le domaine du numérique. L’écologie et l’habitat du futur se basent de plus en plus résolument sur les méthodes réflexives du Design. 

 

 

 

En effet, le Design est d’abord et avant tout une méthode scientifique de résolution de problème qui positionne l’utilisateur final (ses attentes, ses besoins et ses habitudes) au centre de la conception des objets. Il en va de même de l’habitat écologique du futur et des prochaines villes intelligentes. La conception de ces nouveaux espaces repose sur les principes du Design, sur l’utilisation de nouvelles matières premières et sur une toute nouvelle approche repositionnant l’être humain au centre de la réflexion.

 

 

Si se lancer dans le design est alors un choix judicieux, c’est la qualité de la formation qui va déterminer la réussite d’une carrière professionnelle. À ce titre, il est vivement préconisé de suivre un cursus spécialisé dans une discipline du design qui comprend des stages pratiques, ce qui garantit de se construire des compétences métiers appréciées des recruteurs.

 

 

L’EFET Studio Créa propose à ses étudiants des cycles Mastères spécialisés qui bénéficient de l’apprentissage en alternance. 

 

Se lancer dans le design, c’est choisir un secteur d’avenir qui se développe au même titre que les innovations technologiques et les sociétés modernes. 

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