Zaha Hadid: Une Visionnaire de l’Architecture Contemporaine


Actualité publiée le 24 mars 2023

Zaha Hadid est l’une des plus grandes figures du monde architectural de ces dernières années. En plus de 30 ans de carrière, l’architecte de renommée internationale a su faire parler d’elle. Retour sur une carrière inspirante 

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© creative commons libre de droit / Heydar Aliyev Center à Bakou en Azerbaïdjan – Zaha Hadid

 

Qui est Zaha Hadid ?

Zaha Hadid est l’une des figures les plus influentes de l’architecture contemporaine. Née en 1950 à Bagdad en Irak, Zaha Hadid a grandi dans une famille aisée et cultivée. Son père était un homme d’affaires prospère et sa mère était femme au foyer. Malgré son emploi du temps chargé en tant qu’architecte de talent ,Hadid a toujours était très proche de sa mère et a souvent évoqué l’influence de son père sur sa passion pour l’architecture. Quant à Hadid, elle n’a jamais fondé de famille à proprement parler. Au-delà du cocon familial, elle avait de nombreux amis proches et collègues avec qui elle entretenait des relations étroites.  

 

Hadid a étudié à « l’Architectural Association School of Architecture » de Londres, où elle a été influencée par les théories du mouvement architectural déconstructiviste. Elle a notamment travaillé avec Rem Koolhaas et Elia Zenghelis avant de fonder sa propre agence d’architecture, « Zaha Hadid Architects », en 1980. 

 

 

 

Les créations Hadid 

Les premières réalisations dHadid étaient des dessins et des maquettes expérimentaux qui ont reçu beaucoup d’attention dans les cercles architecturaux. Cependant, ces derniers n’ont pas été réalisés avant plusieurs décennies. Sa première construction achevée a été le Vitra Fire Station en Allemagne, en 1993, qui a été acclamée pour sa structure épurée et son dynamisme aérien.  

Par la suite, son travail a souvent été salué pour son approche innovante et avant-gardiste. On dit d’Hadid qu’elle repoussait les limites de l’esthétique et de la fonctionnalité en matière d’architecture. Elle a reçu de nombreux prix prestigieux tout au long de sa carrière, dont le célèbre prix « Pritzker Prize » en 2004, devenant ainsi la première femme à remporter le prix le plus élevé du monde de l’architecture.  

 

Le style de Hadid se caractérise par des formes organiques, fluides, épurés et futuristes qui semblent se fondre dans l’espace environnant ces réalisations. L’architecte a souventutilisé des matériaux modernes pour la création de ses idées innovantes tels que le verre et l’acier pour créer des structures qui donnent la sensation de flotter dans l’air. Les bâtiments qu’a orchestré Zaha Hadid sont souvent considérés comme des sculptures en mouvement.

 

 

Parmi les œuvres les plus célèbres dHadid, on peut citer le MAXXI, le musée national des arts du XXIe siècle de Rome, qui a remporté le « Stirling Prize » en 2010. Très célèbre dans le monde de l’architecture également, le Guangzhou Opera House en Chine est un autre exemple spectaculaire et très représentatif de son travail. La toiture en forme de vagues de cette réalisation se confond avec le paysage environnant. Aussi, le Heydar Aliyev Center à Bakou, en Azerbaïdjan, est une œuvre remarquable, avec ses formes irrégulières et ses espaces intérieurs étonnants. 

 

Malheureusement, Hadid décède en 2016 à l’âge de 65 ans. Même si le chapitre « Hadid » s’est fermé de façon précoce, son héritage en tant que pionnière de l’architecture contemporaine continue d’inspirer et de fasciner les architectes et les étudiants du monde entier. 

 

 

 

Pour l’EFET STUDIO CRÉA, il est important de revenir sur le parcours mémorable des grands architectes du monde. Avec ses formations en Bachelor et Mastère, l’école propose un apprentissage pluridisciplinaire et polyvalent, notamment par le biais de nombreux projets et de l’alternance.  

 

Techniques d’impression : les principaux procédés à connaître


Actualité publiée le 21 mars 2023

En imprimerie professionnelle, il existe un nombre colossal de procédés de tirage. Chacun permet d’obtenir des résultats spécifiques : qualité du rendu, très hauts volumes de tirages, rapidité de séchage, adaptabilité au format, etc. Quels sont les principaux procédés d’impression professionnelle et pourquoi est-il important de bien connaître ces techniques ? 

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© Pexels

 

 

Procédés et techniques classiques de l’impression 

L’impression existe depuis l’imprimerie et vice-versa. Aujourd’hui, certains procédés techniques d’impression dits « classiques » sont encore utilisés par les professionnels en raison de leur très haut niveau qualitatif de rendus. C’est le cas de la typographie, qui consiste à presser directement une plaque (gravée ou en relief) imbibée d’encre sur le support final. Ce procédé suppose une technique très rigoureuse, notamment pour parvenir à aligner lisiblement les caractères. 

 

Assez proche, la technique de l’héliogravure est encore utilisée pour les tirages en très grand volume, comme les éditions de timbres ou d’emballages. Le procédé est basé sur un cylindre à alvéoles, qui détermine la trame du tirage. 

 

La sérigraphie, souvent utilisée pour les tissus, est une technique qui s’adapte en réalité à une multitude de supports : bois, papier, métal, verre, etc. La technique repose sur l’utilisation d’un pochoir, qui permet de déposer l’encre sur le support au moyen d’une émulsion photosensible. 

 

 

 

 

L’impression numérique : une technique et de multiples procédés 

Avec la généralisation du numérique, l’impression est passée à une technologie lui permettant d’atteindre de très hauts niveaux de qualité et de rendement. C’est le cas, par exemple, de l’impression offset (plébiscitée par les professionnels de la communication notamment). L’impression offset est un procédé hybride : les équipements et les techniques restent classiques, mais désormais, leur paramétrage s’effectue sur des logiciels professionnels. 

 

Peu coûteuse, c’est une technique très stable au séchage rapide. Le procédé se divise en deux options : voie humide ou waterless (généralement, le choix s’effectue au regard du support d’impression : fin ou rigide, capable ou non de supporter d’être imbibé d’encre). Divers types de presses peuvent par ailleurs être utilisés : directe, à nappe, feuille à feuille ou encore rotative. 

 

L’impression numérique est considérée comme l’évolution naturelle de l’imprimerie professionnelle. Lié de près à la manipulation des outils PAO, elle offre de s’adapter aux demandes très actuelles en termes de visuels et de communication. Très haute définition, formats originaux, palettes de couleurs fines et uniques : l’impression numérique permet une large gamme de finitions personnalisées. Dans ce cas de figure, le procédé d’impression offset peut aussi être choisi. Les techniques diffèrent alors : impression en jet ou en laser. La première technique utilise des cartouches d’encre liquide tandis que la seconde s’effectue via une encre en poudre (séchage quasi-immédiat et gain de temps considérable). 

 

Pour les professionnels du design graphique, de la communication visuelle et du marketing, connaître les procédés et les techniques de l’impression professionnelle est essentiel, car leurs caractéristiques influent sur la création à élaborer : marges, fonds perdus, qualité des visuels, paramétrage des couleurs, etc. 

 

L’FEET Studio Créa propose donc à ses étudiants d’apprendre et de maîtriser les techniques du Design Graphique et Numérique et de se constituer une solide base en culture générale de la communication visuelle. Ils explorent à ce titre les différents procédés d’impression professionnelle et y adaptent leur technique de création graphique. 

 

Sachez également que l’impression textile utilise majoritairement le procédé de l’impression par sublimation. La technique est double : les visuels sont imprimés sur un papier hautement résistant et déposés à chaud. L’encre ainsi incrustée dans le tissu donne un rendu très haut de gamme. 

Qu’est-ce-que l’architecture d’intérieur ?


Actualité publiée le 17 mars 2023

L’architecture d’intérieur est l’art et la science de concevoir, planifier les espaces intérieurs d’un bâtiment, pour en améliorer la fonctionnalitémais aussi l’esthétique. Zoom sur un domaine artistique et technique incontournable. 

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© Pexels

 

L’architecture d’intérieur est souvent assimilée à la décoration d’intérieur, mais elle est en réalité bien plus complexe. La décoration d’intérieur se concentre principalement sur les éléments esthétiques et décoratifs alors que l’architecture d’intérieur implique une analyse approfondie des besoins et des objectifs fonctionnels de l’espace intérieur. L’architecte d’intérieur est à même de sélectionner les matériaux, les couleurs, des textures, et d’intervenir dans le choix du mobilier et d’autres éléments pour créer des environnements intérieurs esthétiques et fonctionnels. 

 

Il faut savoir que les architectes d’intérieur travaillent avec leurs clients en analysant leurs besoins et leurs objectifs en matière de design, afin de pouvoir répondre correctement à leurs attentes. Dans un même temps, les architectes analysent les caractéristiques architecturales de l’espace. Pour une réalisation optimale et moderne, ils étudient également les tendances actuelles en matière de design et de matériaux. La satisfaction de leurs clients étant primordiale, ils s’assurent aussi que leur conception soit esthétique et fonctionnelle. Il faut préciser que les architectes d’intérieur travaillent avec une multitude de matériaux comme le bois, le métal, le verre, le béton, la pierre et les tissus pour créer des espaces intérieurs tous plus uniques les uns que les autres. 

 

 

 

Aux côtés des architectes d’intérieur 

À leurs côtés, les architectes d’intérieur peuvent compter sur une équipe de professionnels, comprenant des architectes, des ingénieurs, des entrepreneurs et des artisans, afin de concevoir et réaliser leurs projets dans leur entièreté. Ils peuvent également travailler avec des fabricants de meubles et d’autres fournisseurs pour créer des éléments sur mesure pour un projet spécifique. 

 

Parmi les aspects les plus importants du métier on retrouve la planification de l’espace. En effet, les architectes d’intérieur doivent avoir la capacité de maximiser l’utilisation des différents espaces donnés. Ainsi, ils s’assurent de répondre aux besoins fonctionnels du client tout en permettant un environnement intérieur chaleureux et ergonomique. En règle générale, cela implique systématiquement la création de plans d’étage, de maquettes et de dessins détaillés pour aider les clients à se projeter en leur permettant de visualiser le projet final. 

 

Lors du processus de planification de l’espace intérieur, les architectes d’intérieur doivent impérativement tenir compte de différents aspects du chantier comme l’éclairage, l’acoustique, le chauffage... Ils doivent également prendre en compte les impératifs de construction et de sécurité. Respecter toutes les normes lors d’un chantier est une priorité pour les architectes d’intérieurs, notamment en s’assurant d’être aux normes en matière d’accessibilité pour les personnes en situation de handicap. 

 

 

La technologie et les architectes d’intérieur 

L‘utilisation des nouvelles technologies est désormais au cœur de ce métier, ces dernières étant devenues des éléments incontournables de l’architecture d’intérieur moderne. Bien souvent, les architectes d’intérieur utilisent des logiciels de conception assistée par ordinateur pour créer des plans et des dessins détaillés. Les logiciels de visualisation 3D sont également beaucoup utilisés afin d’aider les clients à visualiser leur projet final en le validant avec l’architecte. 

 

Les nouvelles technologies telle que la domotique font partie intégrante de la conception architecturale et du processus de production. La domotique regroupe l’ensemble des techniques électrique et électronique permettant d’introduire dans l’habitat des schémas automatiques comme la gestion des énergies ou à la sécurité. Ainsi, il est possible de rendre son habitat « plus intelligent » mais aussi plus écologique et plus accessible. 

 

De la conception à la planification des espaces intérieurs, l’architecte d’intérieur travaille donc dans un domaine complexe et varié. Ses très nombreuses compétences permettent de parfaire les fonctionnalités, lesthétique et lergonomie de tous les projets entrepris 

 

Le programme Design et Architecture d’Intérieur de l’EFET STUDIO CRÉA permet aux étudiants d’apprendre le métier avec un haut niveau de technicité. En Bachelor ou en Mastère, les étudiants reçoivent une formation riche et professionnalisante afin de s’intégrer facilement sur le marché du travail à la suite de leurs études. 

 

Quelles compétences doit-on acquérir pour devenir maquettiste ?


Actualité publiée le 14 mars 2023

Dans le milieu du design professionnel, le maquettiste fait partie intégrante des équipes de conception. Il produit une maquette perceptible de l’idée de produit sur laquelle il travaille et apporte ainsi une vision concrète de la faisabilité à grande échelle de son projet. Zoom sur les compétences à développer pour devenir maquettiste professionnel.

 

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© Pexels

 

 

 

Le maquettiste professionnel : des compétences artistiques et conceptuelles

Le maquettiste travaille généralement dans la filière du design industriel ou du design de produit. Il est intégré au sein des équipes de conception et travaille sur les logiciels 3D ainsi que la machinerie traditionnelle. Sa mission principale consiste à modéliser un projet en vue de rendre concrets son esthétisme et ses fonctionnalités techniques.

 

 

En pratique, il travaille à partir des plans et des dessins des architectes ou des designers. Depuis ces documents, il choisit de donner vie à sa maquette grâce aux techniques traditionnelles du moulage ou en ayant recours à l’outil numérique et l’impression 3D. Le maquettiste est donc capable d’analyser sa propre idée de maquette en vue de sélectionner le meilleur support de création.

 

 

Ce professionnel fait donc preuve de très grandes compétences en gestion des proportions et de la mécanique des objets. Il maîtrise les plans techniques, la mise en volume et comprend rapidement les atouts des divers matériaux de modelage. Très manuel, il sait travailler en équipe et clarifier son propos en vue de faire des présentations explicatives et attractives.

Grâce à ses compétences de haut vol, notamment dans le prototypage 3D, le maquettiste peut travailler dans de nombreux secteurs : l’industrie automobile, la joaillerie, la robotique ou l’architecture par exemple.

 

 

 

 

Maquettiste : les compétences en informatique

Si certains projets requièrent de donner vie à une maquette classique (bois, carton, argile, etc.), on voit les maquettistes contemporains travailler majoritairement sur l’outil informatique. Les potentialités du digital en termes de présentation graphique 3D ou d’impression numérique sont colossales.

L’outil informatique est également bien plus flexible : le maquettiste peut opérer des modifications structurelles sur son projet en quelques minutes et sans avoir besoin de recommencer l’intégralité de son travail. Les objets ainsi prototypés sont mieux aboutis et les tests d’utilisation considérablement simplifiés. L’informatique offre également aux maquettistes de mieux repérer les erreurs techniques et fonctionnelles du projet.

 

 

 

Ainsi, le maquettiste a des compétences en informatique de très haut niveau : il maîtrise les logiciels comme RHINO ou REVUT et peut travailler sur Sketchup autant qu’œuvrer au sein d’un atelier classique.

 

 

 

Pour développer toutes ces compétences, il a suivi une formation universitaire complète, comme un Mastère en Design et Architecture d’Intérieur. Le cursus de l’EFET Studio Créa présente à ce titre un très haut niveau académique et technique et permet de travailler comme maquettiste professionnel dès l’obtention de son diplôme.

Le maquettiste est susceptible de gagner jusqu’à 3500 euros par mois, cette rétribution évolue rapidement et peut être plus importante en fonction des employeurs.

Le célèbre architecte David Chipperfield remporte le prix Pritzker


Actualité publiée le 10 mars 2023

Ce mardi 7 mars, l’architecte britannique David Chipperfield a remporté une haute distinction dans le domaine de l’architecture à l’âge de 69 ans, le Prix Pritzker. Zoom sur cet architecte minimaliste contemporain qui n’a pas fini de faire parler de son art. 

 

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© creative commons

« Nous savons qu’en tant qu’architectes, nous pouvons jouer un rôle plus important et plus engagé dans la création d’un monde non seulement plus beau mais aussi plus juste et plus durable« , David Chipperfield par communiqué. 

 

 

 

Qui est David Chipperfield ? 

Né à Londres en 1953, cet architecte a d’abord commencé par travailler pour des grands architectes de renom comme Norman Foster et Richard Rogers. Par la suite, David Chipperfield fonde son propre cabinet?« David Chipperfield Architects ». Se faisant rapidement un nom dans le monde de l’architecture, il réalise de nombreux projets dit minimalistes et contemporains. 

 

Parmi ses réalisations les plus importantes comptent le Museo Jumex à Mexico au Mexique, lAmerica’s Cup Building à Valence en Espagne ou encore siège de la BBC Scotland à Glasgowen Écosse. Côté France, et plus spécifiquement à Paris, David Chipperfield, a travaillé sur la réhabilitation de l’ancienne préfecture de Paris, « La tour administrative Morland » en 2016 en donnant vit aux « immeubles quartiers ». Un projet colossal inauguré en le 17 mai 2022.  

 

 

 

Le prix Pritzker 

Le prix Pritzer a vu le jour en 1979 grâce à la fondation Hyatt pour récompenser un architecte vivant dont le travail traduit un talent, une vision, un engagement, et qui ont contribué de façon significative à l’humanité et à l’environnement bâti à travers l’art de l’architecture. 

Cette récompense est internationale et décernée chaque année à un architecte d’exception. Ce prix représente, en quelque sorte, le Nobel pour la profession, la plus haute distinction du milieu. 

 

Tous les architectes en possession du permis d’exercer peuvent participer. Ce prix accorde un statut d’exception à l’architecte qui le reçoit et s’accompagne également d’une dotation de 100 000 dollars.  

Pour la 44ème édition du prix Pritzker, le grand lauréat est donc David Chipperfield qui se distingue parmi des centaines d’autres architectes à travers le monde.  

 

 

Dans un communiqué l’architecte fraichement décoré du prix déclare, « Ce prix est pour moi un encouragement à poursuivre dans la voie que j’ai empruntée, celle de m’intéresser non seulement à la substance de l’architecture et à sa signification, mais également aux contributions que nous pouvons apporter en tant qu’architectes pour relever les défis de taille posés par le réchauffement climatique et les inégalités. Nous, les architectes, savons que nous pouvons jouer un rôle plus important dans la création d’un monde plus beau, mais aussi plus juste et plus durable. Nous devons relever ce défi et aider à inspirer la prochaine génération à accepter cette responsabilité avec courage et clairvoyance. » 

 

 

 

David Chipperfield est une référence en matière d’architecture. L’EFET STUDIO CREA considère qu’il est essentiel d’étudier et de s’inspirer des grands noms de l’architecture à travers le monde. Forte de 40 ans d’expertise pédagogique, l’école des designers forme la nouvelle génération de designers à devenir, eux aussi, des architectes de renom. Avec sa filière Design et Architecture d’Intérieur, accessible en alternance à partir du Mastère, l’EFET STUDIO CREA offre une porte d’entrée évidente vers le milieu de l’architecture.  

Qu’appelle-t-on le design d’objet ?


Actualité publiée le 7 mars 2023

Le design d’objet fait partie des trois grands types de design. Très technique et à visée pratique, que désigne précisément l’expression ?

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© Pexels

 

 

Design d’objet ou design de produits ?

En réalité, les deux expressions se réfèrent à la même discipline, qui consiste à concevoir des objets à destination des consommateurs (esthétisme et utilité). Leur élaboration s’inscrit dans un processus spécifique, qui tient à la méthodologie du Design. En effet, le design est avant tout une méthode de résolution de problème qui vise à apporter aux consommateurs des solutions leur permettant de trouver le confort dans l’utilisation des articles du quotidien. Dans le processus d’élaboration des produits, le design d’objet met au centre de ses questionnements l’utilisateur final, en tenant compte de ses retours et de ses attentes.

 

Ainsi, le design d’objet vise à penser la forme, la couleur voire le packaging d’un article afin de mettre ces caractéristiques en adéquation avec les tendances de consommation à un moment M et dans un secteur spécifique de l’industrie ou de l’économie. Il s’agit par exemple de rendre les poignées des bouilloires plus larges afin d’obtenir une meilleure préhension et moins d’accumulation de chaleur. Le design d’objet, c’est aussi choisir des matériaux aptes à répondre aux attentes des consommateurs, très attentifs désormais à la durabilité des produits qu’ils achètent.

 

Le design d’objet est donc guidé par des impératifs commerciaux. Il s’agit de créer des objets en phase avec un panel d’utilisateurs en tenant compte des contraintes budgétaires et économiques des commanditaires.

 

 

 

Le design d’objet : entre création et commercialisation

Pour parvenir à proposer un objet optimisé et qui prend en considération toutes les attentes du public, les designers d’objets suivent une méthode très technique. Ils élaborent en premier lieu des personaes marketing, des profils d’utilisateurs finaux qui permettent de définir des segments de clientèle-cible.

 

Par la suite, les designers de produit vont effectuer plusieurs propositions à leur client commanditaire, qu’ils présenteront sous la forme de maquette, d’image de synthèse ou de PDF. Après validation, ils lanceront les phases de production et suivront de près les processus de fabrication ainsi que les résultats obtenus par les prototypes aux tests et évaluations de qualité et de fonctionnalité. Les phases de tests du design de produit peuvent être longues et font appel aux techniques de l’UX et de l’UI design, qui consistent à modifier les prototypes en fonction des retours des utilisateurs, dans une démarche quasi-infinie d’amélioration.

 

Ce qui est important pour ces professionnels, c’est de s’inscrire dans le cadre prévu par leur commanditaire, tout en étant capable de proposer des objets uniques et innovants. Le public, friand de nouveautés, apprécie avoir accès à des objets toujours plus technologiques, esthétiques et originaux. Le design d’objet revêt donc une facette artistique et créative très importante, qui contribue grandement à la réussite d’un projet.

 

Maîtriser le design de produit est très judicieux afin de s’intégrer à un secteur dynamique et qui recrute massivement. Il faut néanmoins suivre une formation professionnalisante afin de connaître tous les outils de la conception graphique assistée par ordinateur et les techniques du marketing. L’EFET STUDIO CREA propose diverses formations spécialisées en Design qui bénéficient de la modalité de l’apprentissage en alternance.

 

Aujourd’hui, le design d’objet se digitalise et il n’est pas rare de voir les professionnels se spécialiser dans l’élaboration de produits digitaux : design d’application, de sites web, etc.

INTERVIEW : Cyril Fuentes, responsable pédagogique adjoint DAI


Actualité publiée le 1 mars 2023

Rencontre avec Cyril Fuentes, architecte d’intérieur CFAI et responsable pédagogique adjoint de la filière Design et Architecture d’Intérieur à l’EFET STUDIO CRÉA.

 

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© EFET STUDIO CREA / © Croquis Cyril Fuentes Studio 2023

 

« Ce qui nous tient à cœur, c’est transmettre nos connaissances à nos étudiants », Cyril Fuentes.

 

 

 

Présentez vous en quelques mots.

Je suis Cyril Fuentes , architecte d’intérieur CFAI, diplômé de l’école Boulle en 1996, indépendant free-lance depuis 14 ans et ayant exercé auparavant pendant 10 ans proche d’Andrée Putman.

J’enseigne à l’EFET STUDIO CRÉA depuis 14 ans en Mastère et pour les formations exécutives et je suis les étudiants pédagogiquement.

Parallèlement je suis vice-président à la commission enseignement du CFAI.

 

 

Quelle est votre fonction au sein de l’EFET STUDIO CREA ?

Je suis responsable pédagogique Adjoint, le directeur pédagogique étant mon confrère aîné François Lalau, lui-même architecte d’intérieur CFAI et diplômé de l’Ecole Boulle et des Arts Décoratifs.

 

 

Comment se déroule une journée type à l’école des architectes d’intérieur et designers ? 

Il n’y en a pas !  Chaque journée à son lot quotidien d’évènements, comme dans notre métier d’ailleurs.

Pour ma part, je fais essentiellement le suivi des projets, des étudiants en Mastère et en Exécutive pédagogiquement parlant, l’enseignement en bureau d’étude principalement, et le lien avec le CFAI pour l’école.

 

 

 

Pourquoi avoir choisi l’enseignement à l’EFET STUDIO CREA ?

L’école a plus de 50 ans, nous avons pris la suite en suivi pédagogique de l’école d’un ami commun, Alain Thirion, il y a plusieurs années déjà, afin de maintenir ce qui nous tient à cœur à savoir : transmettre nos connaissances à nos étudiants, sans compter, avec un « contenu » bien présent basé sur trois piliers : « penser un projet, dessiner ce projet et le bâtir ».

 

 

 

De quel projet êtes-vous le plus fier ?

La maison de Tanger en qualité de chef de projet pour Andrée Putman reste un souvenir très présent dans ma mémoire ; j’y ai connu des moments inoubliables et indescriptibles avec elle.

Mais plus récemment, la boutique que j’ai conçu intégralement, hormis les luminaires, en nom propre, pour une maison de linge de maison de luxe à deux pas de l’Elysée rue du Faubourg St Honoré et parue dans Marie Claire Maison digital fin 2022.

 

 

 

 

Racontez-nous votre parcours professionnel ?

J’ai effectué mon parcours étudiant à l’école Boulle, avant d’obtenir mon diplôme supérieur des arts appliqués, il y a 27 ans.

J’ai travaillé dans quelques agences comme avec Wilmotte et d’autres, puis durant 10 ans proche d’Andrée Putman, travaillant sur divers projets de luxe, notamment Le Ritz Carlton sur le site Autostadt Volkswagen, entre autres et en qualité de chef de projet sur la maison de BHL à Tanger, une tour de 110m à Hong Kong nommée The Putman etc…

Puis 14 ans d’activité en libérale pure avec des projets de standing pour particuliers, du mobilier, des boutiques comme la dernière citée auparavant.

 

 

 

 

Qu’est-ce qui vous a poussé à être dans le milieu du design architecture d’intérieur ?

Rien ne m’a poussé…  Depuis ma plus tendre enfance j’ai toujours été préoccupé par l’espace et l’environnement proche qu’offre l’habitat, une passion pour les espaces et les éléments le composant, à taille humaine.

 

 

 

 

Pourquoi recommanderiez-vous l’EFET STUDIO CRÉA ?

Pour le contenu pédagogique qui tente d’être le plus complet possible, pour l’engagement de la présidence du réseau et de sa direction pédagogique, et pour l’équipe pédagogique passionnée qui nous entoure et que je salue affectueusement. Aussi parce que les enseignants sont toujours soucieux d’être en contact avec les étudiants privilégiant l’échange, à chaque instant.

 

 

 

 

Avez-vous des conseils à donner aux futurs étudiants ?

Travaillez, travaillez, travaillez … apprenez, apprenez, apprenez, avec bienveillance, passion et plaisir !

 

 

 

 

Avez-vous une anecdote à nous raconter ? 

Il y en a beaucoup vous l’imaginez bien. Plutôt qu’une anecdote, l’émotion que nous ressentons quand nous retrouvons d’anciens de l’école qui évoluent, qui fondent parfois une famille, et que nous revoyons les yeux pleins de lumière, de souvenirs, heureux et épanouis… n’oubliant pas que « l’humain » est essentiel.

 

 

 

 

Pouvoir s’appuyer sur des professionnels de l’architecture intérieure est un point essentiel de la pédagogie de l’EFET STUDIO CREA. L’enseignement dispensé se veut créatif et novateur, afin de former au mieux les étudiants et les préparer au marché du travail.

 

Bureaux d’étude en architecture : principe et fonctionnement


Actualité publiée le 27 février 2023

La haute technicité du secteur de l’architecture requiert de faire appel aux services fournis par les bureaux d’étude spécialisés. Qui sont-ils, pourquoi apportent-ils un service crucial aux projets d’architecture et comment travaillent-ils ?

 

 

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© Pexels

 

 

Architecture : qu’est-ce qu’un bureau d’études ?

Lorsqu’un projet en architecture est débuté, il est crucial de faire appel à un bureau d’études en vue d’obtenir une aide cruciale au bon déroulement du projet.

 

Le bureau d’étude d’architecture est une structure privée ou publique qui regroupe plusieurs ingénieurs et techniciens spécialisés. Ces professionnels sont chargés de réaliser des analyses hautement techniques et pointues dans le domaine du bâtiment.

 

Attention, le bureau d’études ne se substitue pas au travail de l’architecte, mais fournit une prestation complémentaire. Le bureau d’études va donner aux équipes qui œuvrent sur un projet de nombreux documents d’appui pour travailler : notes de calculs prévisionnels, dessins d’exécution, plans détaillés, etc. En réalité, le bureau d’études prend appui sur les productions et le travail réflexif de l’architecte pour aller plus loin et établir des hypothèses à partir de ses prévisions.

 

Selon les bureaux d’études, les structures disposent de services spécialisés dans diverses branches du bâtiment et de l’architecture, comme :

 

  • La structure : le bureau d’études est spécialisé dans l’estimation des charges et de la solidité des charpentes, poteaux, poutres, etc.
  • L’assainissement : ce sont des structures qui interviennent majoritairement lorsqu’il est nécessaire de remplacer des systèmes d’assainissement et qui sont en mesure de définir les caractéristiques du sol (pente du terrain, texture géologique, etc).
  • L’infiltrométrie : ces bureaux d’études spécialisés estiment l’étanchéité d’un logement et savent définir les meilleures solutions pour l’assurer.
  • La géotechnique : c’est une spécialité qui a trait à la transmission et à la répartition au sol des charges. Les bureaux d’études sont souvent mis à contribution pour estimer les besoins de fondation, les études de sol, etc.
  • La thermie. Cette spécialité permet de trouver des solutions en vue de réduire la consommation énergétique des bâtiments.

 

 

Exemple d’intervention d’un bureau d’études sur un projet d’architecture

En pratique, l’architecte va dessiner la structure de son projet, son système de soutènement, penser des dimensions cohérentes et établir des orientations esthétiques. Il peut ensuite envoyer ces documents au bureau d’études, qui va recalculer les dimensions exactes et viables du projet en réfléchissant aux charges que devra supporter la structure, par exemple. Dans ce contexte, les chargés d’études devront penser à tout : poids du toit, de la charpente, force du vent, possibilité du poids de la neige, de la glace, etc.

 

L’architecte et les techniciens du bureau d’études, s’ils ne parviennent pas aux mêmes résultats, travailleront ensuite de concert pour trouver des solutions véritablement adaptées au projet.

 

Exercer en bureau d’études d’architecture requiert donc des connaissances en architecture et des compétences pratiques en construction, bâtiment, conception et design. À ce titre, l’EFET Studio Créa propose un parcours complet en Design et Architecture qui permet de se former et de tout comprendre du rôle clé des bureaux d’études.

 

Savoir travailler avec les bureaux d’études techniques est crucial pour tout professionnel du secteur de l’architecture en raison de la haute technicité des questionnements dans le domaine.

Qu’appelle-t-on « design numérique » ?


Actualité publiée le 21 février 2023

On considère que tout design conçu pour interagir avec un appareil numérique appartient au domaine du « design numérique ». Considérant le grand nombre d’appareils digitaux que nous utilisons au quotidien, comment encadrer plus précisément la définition du design numérique ?

 

Design numérique : une définition

Le design numérique s’apparente à une forme de communication visuelle qui présente des informations, des produits ou des services via une plateforme digitale. Plus concrètement, c’est un design graphique visuel conçu spécialement pour être vu ou utilisé sur un ordinateur.

La conception d’un visuel ou d’un document en design numérique tient donc compte de plusieurs facteurs, essentiels pour l’utilisateur des appareils : l’expérience utilisateur, l’interactivité, adaptabilité aux diverses tailles d’écrans de visualisation, etc.

 

Le but du design numérique, c’est donc de créer un visuel qui a vocation à être utilisé, et non simplement vu et lu.

On l’oppose souvent au design graphique, bien que les deux disciplines soient véritablement liées. On attend en effet des designers professionnels qui maîtrisent aussi bien le design graphique que le design numérique.

 

Design numérique et développement informatique : les liens

Si le design graphique a pour vocation d’être imprimé, le design numérique a pour support exclusif les appareils digitaux. Ainsi, les graphistes experts du design numérique livrent leur projet au client commanditaire sous la forme d’une maquette hors ligne (un PDF ou un document Photoshop). S’il est validé, ils transmettront leurs indications aux équipes de développeurs, qui traduiront la maquette en langage informatique pour en faire un produit digital fonctionnel, comme une newsletter.

 

Naturellement, il est tout à fait possible de rencontrer des graphistes spécialistes du design numérique qui offrent un service de développement. Cela dépend de leur modalité de travail et de la taille de l’agence où ils sont employés.

 

 

 

Design numérique : typologies

Le design numérique varie donc en fonction de l’outil digital de visualisation et de l’expérience utilisateur. On peut considérer qu’il existe :

  • Le design de site web. Aujourd’hui, l’importance d’une bonne vitrine digitale est bien comprise pour les professionnels, qui apportent beaucoup de soin à la conception esthétique de leur site.
  •  Le design de landing pages (ou pages de destination) sont axées sur les stratégies marketing. Elles sont consacrées à un produit spécifique et comprennent souvent des éléments très motivants pour les acheteurs.
  • Le design d’application mobile. Il diffère légèrement du design de site web en ce que les applications sont des produits digitaux conçus pour exercer une fonction spécifique.
  •  Le design d’icônes d’application. Il s’agit des boutons de navigation présents sur les applications ou les sites web. Ces icônes sont informatives ou publicitaires.
  • Le design d’infographie, qui permettent de présenter de manière ludique et attrayante des informations brutes.
  • Le design de mails, comme les newsletters ou les messages promotionnels. Ils doivent reprendre la charte graphique de l’entreprise et présenter un style agréable.
  • Le design de bannière publicitaire, qui sont conçues pour augmenter la visibilité et les ventes d’une entreprise.

 

À l’EFET Studio Créa, les étudiants apprennent tout du design numérique et sont capables, à l’issue de leur cursus, d’exercer comme designer spécialisé.

 

Le design numérique ne cesse d’évoluer, la dernière branche à être née est le design de réseaux sociaux, dont le succès est fulgurant.

L’Histoire de l’Art : l’essentiel à connaître


Actualité publiée le 13 février 2023

S’il est impossible de dresser un résumé bref et essentiel de l’Histoire de l’art, nous pouvons nous efforcer d’en dresser le portrait général. Alors, qu’est-ce que l’Histoire de l’art, quelle est l’approche de la discipline sur les mouvements historiques et les productions créatives et pourquoi est-ce important de bénéficier de cet enseignement ?

visuel histoire de l'art

© Pixabay

 

 

L’Histoire de l’art : une approche scientifique unique

L’Histoire de l’art est une discipline hybride, qui a pour objet d’étude les œuvres d’art, leur sens et leurs conditions de création. De ce fait, il s’agit d’une approche transversale, qui considère l’iconographie au même titre que le développement social et culturel, les grands courants historiques, les innovations spirituelles, relieuses et d’autres considérations anthropologiques, idéologiques et politiques.

 

Les objets d’étude de l’Histoire de l’art sont donc :

  • La création artistique : le processus de création en lui-même et les productions qui en découlent : narration, fiction, théâtre, sculpture, tableau, etc. Cet objet d’étude comprend la création théorique et la production pratique : étude des diverses techniques selon les époques, des matériaux, etc.
  • L’étude de l’objet : l’œuvre en elle-même, sa technique de création, les matières utilisées (leur provenance, le contexte économique pour y accéder, etc.).
  •  L’individu : l’artiste ou le créateur qui travaille de manière autonome ou sous commande. Par là même, l’Histoire de l’art s’intéresse aux spectateurs : l’impact d’une œuvre sur ses contemporains, par exemple.

 

Attention, l’Histoire de l’art est encore trop souvent confondue avec l’Histoire des arts, qui consiste en un enseignement artistique et culturel principalement divulgué à l’école élémentaire, au collège et au lycée.

 

 

Pourquoi étudier l’Histoire de l’art ?

Étudier l’Histoire de l’art permet de bien comprendre les œuvres qui nous entourent : les productions historiques, iconiques et même les créations d’aujourd’hui. En fournissant au spectateur des clés de lecture des œuvres, l’Histoire de l’art permet leur meilleure compréhension et, pour les pratiquants, offre une source d’inspiration colossale.

 

De manière généraliste, survoler l’essentiel de l’Histoire de l’art, c’est une excellente manière de garder l’esprit ouvert et de prendre plaisir au contact des œuvres. Cela permet aussi de mieux se confronter à l’art contemporain, parfois nébuleux et difficile d’accès pour le grand public. Sur ce point, l’Histoire de l’art a contribué, pour beaucoup de non-initiés, aux arts appliqués, à mieux comprendre « l’utilité » de l’art. En ce sens, de nombreux spectateurs ont mieux compris le fondement des actuels arts graphiques et numériques et l’on peut dire que l’Histoire de l’art a permis de faire de la communication visuelle un art appliqué à part entière.

 

Pour les étudiants en écoles d’arts appliqués, de design d’art graphiques, et même d’architecture bénéficient tous d’un apport théorique en Histoire de l’art. Grâce à cette discipline culturelle, humaine et technique, ils appréhendent les grands courants artistiques de l’Histoire. Ils savent les reconnaître, les expliciter, mais également en dégager les caractéristiques dominantes. De ces éléments de reconnaissance, ils peuvent tirer une inspiration importante dans leurs propres productions et s’en affranchissent par la suite pour trouver leur propre style. L’Histoire de l’art, en tant que discipline d’étude, permet de considérablement stimuler leur créativité.

 

L’EFET Studio Créa a conscience de l’importance de l’Histoire de l’art pour la constitution d’une culture générale solide et d’un socle de compétences opérationnelles dans le domaine des arts graphiques, numérique et du design. Les étudiants de l’établissement bénéficient à ce titre d’apports dans la discipline, qu’ils choisissent d’étudier la Photographie, le Design Graphique et Numérique ou le Design et l’Architecture d’Intérieur.

 

L’Histoire de l’art permet de décrypter les grands mouvements historiques, les divers points de vue d’une société sur les œuvres qu’elle a produites et offre de déceler de nouvelles possibilités dans les arts appliqués.

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