Photoshop, c’est le logiciel de la création et de la retouche numérique graphique. Les fonctionnalités de l’outil sont très nombreuses et offrent de presque tout faire. Pour utiliser Photoshop à un niveau avancé, il est indispensable de suivre une formation. Retour sur le fonctionnement de base de Photoshop et sur les solutions pour apprendre à bien l’utiliser. 

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Principes de base pour utiliser Photoshop 

Adobe propose en ligne des tutoriels écrits et vidéo avec de nombreux fichiers téléchargeables pour prendre en main et découvrir Photoshop. Attention, ils ne sauraient remplacer des formations professionnelles, indispensables pour bien utiliser l’outil, mais permettent de se familiariser avec Photoshop. 

Les outils de base de Photoshop permettent d’intervenir sur des images pour faire de la retouche numérique et d’obtenir des premiers rendus intéressants. 

Pour utiliser Photoshop, il faut invariablement ouvrir une image dans le logiciel (Fichier > Ouvrir> Sélection du fichier). Pour créer une image, on choisit dans la barre de menus Fichier > Nouveau. Il faut alors sélectionner les paramètres de document prédéfinis ou indiquer des valeurs personnalisées. 

Utiliser Photoshop, c’est bien se repérer dans l’espace de travail, qui est composé de : 

– La barre de menus (la partie supérieure). Elle-même se compose des entrées Fichier, Édition et Image, permettant de sélectionner les réglages, les commandes ou de faire apparaître les panneaux. 

– La barre d’options, sous la barre des menus. Elle offre de faire varier les options de l’outil qui a été sélectionné. 

– À gauche, le panneau Outils, permettant de retoucher les images ou de créer des illustrations. 

– Le panneau de droite, crucial pour utiliser Photoshop, car il comprend les couleurs, les calques et propriétés fondamentales de la manipulation des images. 

Dans Photoshop, il est également possible de zoomer et de naviguer dans l’image agrandie avec l’outil Main. Toute commande peut être annulée, notamment grâce au raccourci Cmd+ Z (Sur Mac OS). Sachez que la maîtrise des raccourcis sur Photoshop est une solution pour exploiter le logiciel plus rapidement et que les professionnels connaissent par cœur les manipulations clavier du logiciel. 

Utiliser les calques dans Photoshop 

Les calques sont un concept et un outil de base de Photoshop. Il s’agit d’un ensemble de couches virtuelles à empiler sur le visuel de base. Chaque couche contient un élément qui constitue l’ensemble final. Ainsi, dans Photoshop, on travaille une partie de son visuel sur un calque, le résultat final correspond à la superposition de tous les calques. 

Un calque de Photoshop permet de nombreuses retouches sur une partie de l’image, sans intervenir sur l’intégralité de la photographie originale. Le document d’origine n’est donc affecté qu’en partie et il n’est pas détruit par la retouche). On peut supprimer un calque (et ses éléments retouchés) pour retrouver le visuel de base. 

Pour utiliser un calque dans Photoshop, il faut tout d’abord ouvrir un visuel dans l’espace de travail. Par défaut, l’image importée comprend un claque d’arrière-plan qui est automatiquement verrouillé (c’est la base de la superposition des couches). 

On peut ensuite commencer son empilement de couches en ajoutant un nouveau calque transparent et vierge en cliquant sur « Créer un calque » dans le panneau Calques. Attention, il est vivement préconisé de bien nommer chaque couche de calques en vue de ne pas se perdre dans ses retouches. Pour bien utiliser les calques de Photoshop, il faut travailler dans l’onglet Calques, situé en bas à droite de l’espace de travail (ou Fenêtre puis Calques). 

Il est aussi possible d’ajouter un nouveau calque en convertissant des sélections en calques. On sélectionne une portion de l’image de base et on copie-colle cette sélection sur l’image. Photoshop génère automatiquement un calque qui comprend la partie copiée. 

Pour utiliser les calques de Photoshop, il faut apprendre à les manipuler en fonction de ses objectifs de création ou de retouche numérique. Par exemple, le logiciel offre de très nombreuses fonctionnalisés, comme le masque de calque (qui s’active en cliquant sur l’icône œil dans le panneau calques). En masquant un calque on peut alors mieux se rendre compte de la qualité de sa retouche ou travailler sur une autre partie du visuel. 

Il existe également des calques de réglages, qui permettent de modifier les paramètres d’une image : contraste, couleurs, tons, etc. En utilisant un calque pour procéder à ces modifications, on ne détruit pas le visuel d’origine et il est à tout moment possible de restaurer l’image de base. 

Enfin, sachez qu’il est possible de redimensionner un calque de Photoshop en cochant l’option de transformation. Des points apparaissent alors sur le calque, qu’il suffit de faire bouger sur l’écran pour obtenir la taille désirée (il faut valider pour que la transformation soit enregistrée par Photoshop). On peut aussi conserver la forme et les proportions de l’image en cochant la case Conserver les proportions ou en utilisant le raccourci Shift au moment de la re-dimension du calque. 

Utiliser Photoshop : bien se former 

 Photoshop est un logiciel qui fait partie de la fameuse suite Adobe. Payante, la licence s’adresse aux professionnels du design graphique et numérique.   

S’il est possible de suivre des formations dédiées à l’utilisation de Photoshop, il est conseillé aux étudiants désireux de faire carrière dans les arts graphiques de choisir un cursus qui comprend l’apprentissage de Photoshop. En effet, la découverte du logiciel puis sa pleine maîtrise requièrent plusieurs années d’expérience et une utilisation sur le terrain.

Utiliser Photoshop dans le cadre d’études en Design est un apprentissage plus performant. Les modules d’utilisation de l’outil sont mis en cohérence avec d’autres fondements de la communication visuelle : principes de l’identité visuelle, mise en page, marketing en ligne, fondements de la communication, etc. 

Apprendre à utiliser Photoshop dans le cadre d’une formation en graphisme numérique permet également de découvrir toutes les approches qu’offre le logiciel : design de packaging, affichage print, retouche numérique ou créations d’infographies. 

Il faut privilégier un apprentissage pratique, composé de séminaires professionnels ou de projets concrets et un cursus qui se déroule sur 3 à 5 ans. L’EFET Studio Créa propose un parcours complet en Design Graphique et Numérique. Chaque année du cursus comprend des UE et des modules pratiques pour apprendre à utiliser Photoshop et, grâce à l’alternance, les étudiants découvrent toutes les fonctionnalités directement sur le terrain. 

Les professionnels qui savent véritablement utiliser Photoshop effectuent en parallèle de leur travail une veille des évolutions et des mises à jour du logiciel. 

Un workshop sur le thème de l’éco packaging a eu lieu à l’EFET STUDIO CRÉA la semaine du 29 mai au 02 juin. Cet atelier était destiné aux étudiants de Master 1 Design Graphique & Numérique.  

Généralités et consignes du workshop 

Il va de soi que réaliser un packaging aujourd’hui nécessite avant tout de prendre en compteles critères liés à l’écologie. Si l’industrie du luxe se démarque clairement dans l’originalité de ses conceptions en termes d’emballages, nous constatons que les créations sont bien moins abouties dans certains secteurs, dont les magasins bio avec l’achat en vrac. 

C’était donc le point de départ du travail des étudiants. Devant concevoir un éco packaging qui répond à certains critères, ces derniers ont donc dûintégrer dans leur travail quelques contraintes?:  

Ils devaient réaliser l’identité graphique pour les sachets d’une marque de produit bio en vrac (marque inventée, ou marque existante, au choix). Le sachet en question devait être réutilisable et proposer une expérience inédite post-achat.  

Ils avaient pour mission deplacer l’éco conception au cœur de leurs démarches?: la durée de vie du sachet doit être optimisée. Le graphisme devait être éco conçu, c’est-à-dire qu’il fallait limiter la colorimétrie.Il fallait donc choisir les informations les plus pertinentes à placer sur le paquet, afin de ne pas le surcharger et d’en faire un sachet à usage unique, limitant ainsi la consommation d’encre. Il était également important de supprimer les images inutiles et de réduire la taille du texte tout en conservant une bonne visibilité. Enfin, les étudiants devaient utiliser le label imprim’vert et pouvaient utiliser un procédé d’impression classique.  

Les élèves avaient 5 jours pour concevoir leurs moodboards, planches de recherche, planches de présentation et maquette de principe. Ils avaient également un dossier numérique de 15 slides à préparer. Ce travail était à faire en autonomie, supervisé par leur intervenant qui était là tout au long de la semaine pour leur prodiguer des conseils.  

Retour d’expérience des étudiants et intervenant 

Ce workshop était le moyen pour les étudiants de laisser parler leur imagination et de mettre en avant leuringéniosité dans un délai assez court.  

Amélie Paillet, une des étudiantes ayant participer à ce workshop a réalisé un projet tournévers l’alimentaire comme la plupart de ses camarades?: «?J’ai voulu créer des packs dans lesquels on peut acheter ses fruits et légumes à noyaux et ensuite les faire pousser chez soi, directement dans le sac dans lequel ils ont été achetés?».  

Lila Lorenzin, une autre étudiante, s’est, elle,tournée vers la marque Playmobil?: elle a inventé un concept où il serait possible d’acheter les figurines Playmobil en vrac.Il faudrait faire des découpes sur le sachet pour en faire des portes et des fenêtres et ensuite le réutiliserpour la construction de bâtiments. Pour elle, ce type de workshop est vraiment intéressant pour elle : «?On est souvent en groupe pour les projets,mais parfois, on a l’opportunité d’être tout seul. C’est vrai que c’est bien d’avoir ces deux aspects là parce que c’est important de savoir travailler en groupe pour savoir mêler les différentes envies des autres et de ne pas avoir la contrainte de tout le temps être tout seul. Mais c’est vrai que c’est sympa aussi de quelques fois être seul parce qu’on peut vraiment faire ce qu’on veut à 100%. C’est bien d’avoir ces deux aspects là dans l’école.?». 

Stéphane Genier, designer indépendant, était chargé d’animer et encadrer ce workshop. Son bu tà travers cette semaine, était de faire comprendre aux étudiants qu’il est préférable d’allonger la durée de vie d’un packaging,en le réutilisant, que de vouloir le recycler systématiquement. Il souhaitait donc amener les étudiants à réfléchir à des emballages qu’on peut réutiliser à plusieurs reprises après achat.  

Pour l’intervenant, il est plus que pertinent pour les étudiants de participer à ce projet?:«?Le gros intérêt, c’est de les mettre en situation sur une durée relativement courte comme ils travailleraient en agence ou face à un client, avec tout ce que ça a à prendre en compte comme pression, comme rush?: trouver des idées rapidement, les tester, voir si elles fonctionnent, revenir dessus, être créatif.?». Selon lui, en raison de la durée de temps limitée qu’ils ont à leur disposition, les étudiants participants doivent être réactifs tout en?mettant en valeur leur créativité.  

Le workshop Eco packaging, était un réel défi pour les étudiants en M1 DGN. Être aux côtés d’un designer professionnel tel que Stéphane Genier, les aaidés à comprendre les différents enjeux de cette thématique et de fournir un travail innovant et de qualité. 

À l’EFET STUDIO CRÉA, les workshops et séminaires viennent fréquemment ponctuer les cours magistraux. C’est le meilleur moyen pour les étudiants de mettre en applicationles notions théoriques qu’ils apprennent durant leur formation et de se confronter à une réalité plus concrète.  

Si vous aussi vous êtes passionnés par le monde du design graphique et numérique ou encore de l’architecture intérieur, n’hésitez plus, candidatez et rejoignez-nous?!  

Le design graphique est désormais considéré comme l’outil incontournable de la communication visuelle. Il permet de créer de toute pièce des images permettant de mettre en valeur un propos, créer le packaging de produit ou encore faire la promotion d’un événement. Véritable discipline des arts appliqués, le design graphique est un domaine très concret : comment s’améliorer ?

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Connaître l’environnement technique et s’améliorer en design graphique 

Le design graphique est une discipline des arts appliqués intimement lié à ses outils de production : les outils et les logiciels numériques de création visuelle. Pour parvenir à faire des propositions créatives en design graphique, la maîtrise des instruments comme Illustrator, Photoshop ou encore InDesign est indispensable. 

Ainsi, pour un étudiant ou un designer qui souhaite s’améliorer en design graphique, il est important d’effectuer une veille concrète et assidue de son secteur. En surveillant l’actualité et en prenant connaissance des dernières propositions logicielles sur le marché, les designers graphiques peuvent ainsi constamment tenir à jour leurs compétences. En effet, pour s’améliorer en design graphique, il faut savoir utiliser les dernières fonctionnalités rendues possibles par l’innovation technologique. 

Par exemple, un bon design graphique d’aujourd’hui peut être conçu selon les techniques du Flat Design ou de la 3D. Un designer qui souhaite s’améliorer et maîtriser ces tendances a donc besoin de connaître les logiciels et les manipulations techniques lui permettant de créer un visuel en 3D. Il doit également parfaire ses compétences afin de maîtriser les principes du Flat Design (perspective tronquée, point de vue unique, etc.). 

S’améliorer en Design Graphique : essayer, recommencer et travailler 

Le design graphique s’apprend au contact des professionnels du secteur. Pour s’améliorer, il est donc important de baigner dans l’univers de la conception visuelle, en fréquentant un certain milieu, en multipliant les vernissages ou les expositions et en observant le monde qui nous entoure (et les propositions publicitaires). 

S’améliorer en design, c’est également expérimenter et, pour ce faire, l’idéal est de constituer un groupe de graphisme éclectique et qui fourmille d’idées de conception. Rejoindre une communauté de graphistes actifs (ou même un collectif) est tout à fait envisageable en se rapprochant des participants à sa formation universitaire ou en utilisant à bon escient les réseaux sociaux. 

Consulter des blogs de conception graphique et se construire une bibliothèque spécialisée composée de livres techniques sur le sujet est également une excellente manière de s’améliorer. En étudiant les tendances et les mouvements du design graphique au fil du temps, il est plus aisé de trouver l’inspiration. N’oublions pas que c’est en copiant que l’on trouve son propre style. 

Pour véritablement s’améliorer en design graphique, il n’y a pas de secret : il faut s’entraîner et participer à un maximum de projets afin de diversifier les sujets, les consignes et les objectifs. Les enseignants de l’EFET STUDIO CRÉA le savent et encouragent leurs étudiants à produire à l’occasion d’ateliers pédagogiques pratiques tout au long de leur cursus de Bachelor et de Mastère Design Graphique. Grâce à l’apprentissage en alternance, les participants complètent leur formation en apprenant directement au contact des experts et en situation professionnelle, ce qui consiste en une autre excellente occasion de s’améliorer en design graphique. 

S’améliorer en design graphique, c’est un processus qui dure tout au long de sa vie professionnelle : les designers en exercice cherchent constamment à relever de nouveaux défis et à expérimenter de nouvelles solutions. 

L’EFET STUDIO CRÉA est une école de design et d’architecture d’intérieur née de la fusion de 3 écoles : EFET Architecture, Studio Créa et PSVA. Elle a fêté ses 50 ans ce 15 juin. Retour sur cet évènement marquant, riche en émotions. 

Les 50 ans de l’école 

La soirée des 50 ans de l’EFET STUDIO CRÉA a réuni les étudiants, les alumni, les équipes pédagogiques de l’école mais aussi des professionnels ainsi que des journalistes du monde de l’architecture et du design. 

Ce fut l’occasion également pour les étudiants d’exposer leurs travaux dans toute l’école, et de permettre aux invités de découvrir le fruit de leur labeur.  

Pour permettre aux participants de garder un souvenir de ce bel anniversaire, un atelier de graphe sur tote bag était propos ainsi qu’un Photobooth aux couleurs de l’école. 

Et pour les plus gourmands, une dégustation vin et chocolat proposait un voyage plein de saveurs. 

Le Directeur Général du Réseau GES, Jonathan Azoulay, revient sur ce moment de partage avec émotion « C’est assez émouvant de voir toutes ces générations réunies ce soir puisque j’ai pu rencontrer des diplômés d’il y 10, 20, 30 ans, et je suis extrêmement fier du parcours qu’ils ont pu avoir. Ça n’aurait jamais été possible sans l’investissement de l’ensemble de l’équipe, de l’ensemble des étudiants dans les projets.  On a vu que la créativité des étudiants est assez extraordinaire, que ce soit en design graphique ou en architecture d’intérieur. On a pu avoir des étudiants dans le passé qui ont été primés et qui ont eu une formidable carrière professionnelle. ».

Le directeur de l’école Grégory Saraceni, était bien entendu présent, aussi bien sur les 50 ans de l’EFET STUDIO CRÉA que sur ceux de l’EFET Photographie, son école sœur, qui fêtait son anniversaire à quelques pas. « C’est une très belle soirée pour les 50 ans de l’EFET STUDIO CRÉA, tous nos étudiants, intervenants sont là. Mais plus que tout, on a aussi nos alumni, nos entreprises partenaires, en résumé tout ce qui fait la vie de l’ESC au quotidien. C’est l’ADN de notre école qui est là, qui est présent puisqu’ils s’investissent au quotidien. […] C’est un moment d’échange génial. » confie-t-il. 

L’EFET STUDIO CRÉA 

 Cette école d’arts appliqués met au service des étudiants, ses 50 ans d’expertise pédagogique dans les domaines du design graphique, du design numérique et de l’architecture d’intérieur. Son objectif : former des designers créatifs, ingénieux et agiles face aux nouveaux usages et aux innovations technologiques. 

Les métiers du Design et de l’Architecture d’Intérieur sont en perpétuelles évolutions, notamment avec les avancées technologiques et le numérique.

La pédagogie de l’EFET STUDIO CRÉA a pour vocation de s’adapter aux évolutions du marché en apprenant aux étudiants à enrichir leurs créations en s’appuyant sur les nouvelles technologies.

L’école forme des professionnels avec de véritables compétences recherchées par les entreprises, transmises par des intervenants professionnels également, qui enrichissent leur enseignement par des exemples concrets tirés de leur activité. Les formations professionnalisantes délivrent toutes des titres reconnus par l’Etat. Le mastère design et architecture d’intérieur est également reconnu par le CFAI pour le campus de Paris. Sa présidente, Claire Le Quellec, nous a honoré de sa présence pour cette soirée d’anniversaire :  » Être ici ce soir, c’est un petit peu couronner les hauts et les bas de l’école, son succès et sa belle réussite avec tous les professionnels qui en quelques sortes aujourd’hui, font rayonner la profession d’architecte d’intérieur en France, en Europe et à l’international » dit-elle.    

Alors merci sincèrement merci à nos alumni, dont les designs novateurs font rayonner leur art.

À nos 400 étudiants, toujours plus créatifs et inspirants. 

Merci aussi à nos intervenants, pour la transmission de leur savoir-faire. 

À toutes nos entreprises partenaires pour leur confiance. 

Et enfin à notre équipe pédagogique pour l’accompagnement quotidien des étudiants dans leur professionnalisation.  

Avec l’EFET STUDIO CRÉA, continuons de façonner l’avenir du design et de l’architecture. 

Le design thinking consiste à adopter une approche de résolution de problème centrée sur l’humain. C’est une synthèse très pratique des techniques analytiques et intuitives qui répond à trois principes de base : désirabilité, faisabilité et viabilité économique. 

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Utiliser le design thinking quand on veut gagner du temps 

Le design thinking se base sur l’intelligence collective et la mise en commun des compétences des individus afin d’être plus performant. Il est très utilisé dans les entreprises en raison de son gain de temps considérable. 

Grâce à cette méthode, on aboutit en effet à une solution qui répond véritablement aux besoins des consommateurs. Le produit ainsi élaboré obtient plus de succès qu’avec les méthodes classiques, les phases de retour sur les prototypes sont donc moindres. Utiliser le design thinking est donc très avisé quand on souhaite ne déployer sur le marché qu’une seule proposition, très optimisée et déjà adaptée aux attentes des consommateurs. 

Faire une place au consommateur : utiliser le design thinking 

Le design thinking, c’est une véritable révolution dans la manière de concevoir les produits et les services d’une entreprise. Auparavant, les directions élaboraient leurs nouvelles propositions et les imposaient sur le marché. Désormais, la création des produits s’effectue depuis les consommateurs mêmes. Leur place est devenue centrale dans le processus de production, les entreprises conçoivent leurs solutions en fonction des retours utilisateurs au sujet de leurs anciens produits. La démarche du design thinking commence donc par une recherche des attentes des consommateurs. 

C’est donc une véritable garantie de concevoir un produit innovant, qui va acquérir l’adhésion des consommateurs, conscients que leurs retours auront été pris en compte. Le design thinking, bien utilisé, offre donc de détecter les opportunités d’innovation sur un marché et de s’assurer de véritables débouchés commerciaux à un nouveau produit. Et cela, dès les étapes préliminaires de conception des articles. 

Construire une culture d’entreprise, c’est aussi utiliser le design thinking 

Autre avantage à recourir au design thinking, c’est de construire des processus et des dynamiques de travail permettant aux collaborateurs d’une structure de travailler véritablement ensemble. En se fondant sur l’intelligence collective, le design thinking cherche à résoudre des problèmes en favorisant l’empathie et la mise en commun des compétences. C’est une nouvelle approche, qui vise à amener un groupe de chercheurs à produire le maximum d’idée. Ce foisonnement créatif permet de développer de très nombreuses perspectives pour atteindre des possibilités très variées dans la détermination d’une solution. Cette créativité offre de véritablement trouver des points d’innovation, mais permet aussi à chaque individu de se sentir faire partie d’un groupe. Le design thinking peut en effet être utilisé afin de valoriser les compétences de chacun, la créativité de tous et de tirer parti de la valeur de chaque collaborateur. 

En mettant au cœur de la réflexion un processus collaboratif le design thinking favorise l’instauration d’une véritable cohésion d’équipe et construit une culture d’entreprise unique. Le rythme des projets s’en trouve alors naturellement amélioré, les collaborateurs étant plus motivés et impliqués dans leur travail. 

Pour savoir comment utiliser le design thinking, il faut suivre une formation spécialisée, à l’instar des cursus premium en alternance proposés par l’EFET STUDIO CRÉA. 

Très collaboratif, le design thinking est une méthode qui s’adapte parfaitement aux manières de penser actuelles. Il favorise le travail créatif des nouvelles générations et débouche sur des produits véritablement en phase avec les attentes des utilisateurs. 

Le design est une discipline de résolution de problème dont les fondements remontent à la Renaissance et aux grandes inventions. Elle s’attache donc à résoudre des problématiques pratiques à la fois en y appliquant des solutions conceptuelles et des dispositifs matériels. Pourquoi existe-t-il une spécificité au projet de design et comment la définir ? 

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Quelles sont les spécificités d’un projet en design ? 

Le design est une discipline de projet, qui vise à améliorer le quotidien des utilisateurs des produits et services qu’il conçoit. Discipline de la résolution de projet, elle regroupe plusieurs spécialités et trouve ses applications pratiques dans des secteurs très variés. Relèvent du design la conception d’applications numériques virtuelles au même titre que l’amélioration de la circulation d’une zone urbaine et la mise à disposition d’outils de sécurisation de la voirie par exemple. 

Le projet en design a par conséquent une forme variée, qui correspond aux objectifs à atteindre, aux attentes des utilisateurs finaux et à son secteur d’activité principale. Il n’aura pas la même forme ni ne dépendra pas des mêmes outils de conception, qu’il s’agisse : 

– D’un projet de graphisme visuel : création d’une affiche publicitaire ou d’une brochure commerciale. 

– D’un projet de design industriel qui doit déboucher sur la création physique et matérielle d’un produit. 

– D’un projet de design d’interaction, très basé dans la sphère des produits numériques, etc. 

On voit même des projets de design qui existent dans des espaces très conceptuels, comme la collaboration. En effet, on fait régulièrement appel aux méthodes du design afin d’améliorer les flux de communication interne d’une entreprise, les processus de collaboration de ses salariés ou même les zones de contact en interne (rationalisation des espaces de circulation, mise en valeur des zones de pause, etc.). 

Design et notion de projet 

Le projet est donc une notion indissociable du processus réflexif et conceptuel du design. C’est d’ailleurs par le terme de projet que sont désignés les travaux des designers dès leurs premières années en écoles spécialisées. Le projet est alors un mot qui désigne, dans l’univers du design, à la fois les travaux de conception en atelier, les apprentissages pratiques et même les réalisations achevées dans le milieu professionnel. 

Dans le design, le projet est de ce fait une unité de travail, qui peut aboutir ou non à une réalisation matérielle. On dit que le designer conçoit des projets à destination des usagers. Néanmoins, la discipline du design n’a pas le monopole du projet. Avec l’essor de l’industrie moderne, le XXe siècle s’est plongé dans des activités de projet et de conception. 

Nos sociétés, soucieuses de préparer l’avenir, de le prévoir et de le moduler dès à présent, sont considérées comme des cultures du projet dans lesquelles le design prend toute sa place, sa forme et son ampleur en raison de son habilité à proposer des solutions à la fois conceptuelles et techniques. 

Avec l’enseignement de l’EFET STUDIO CRÉA, les étudiants de l’établissement comprennent tout des interactions et des différences structurelles des divers projets qu’il est possible de porter dans l’univers vaste et riche du Design. 

Le design est un évitable état d’esprit, une discipline très riche et variée qui se retrouve dans toutes les facettes de notre société. Les projets qu’il comprend et sur lesquels il débouche sont donc tout aussi multiples en forme, originalité, objectifs et fonctionnalités. 

Une nouvelle phase vient de débuter sur Parcoursup, et certains d’entre vous sont peut-être en attente ou pas nécessairement satisfait des réponses reçues. Pas de panique, tout n’est pas encore terminé, cette dernière phase de sélection peut vous apportez de nouvelles réponses satisfaisantes. 

Et vous avez également la possibilité de candidater à des formations hors Parcoursup. 

L’EFET STUDIO CRÉA, la Grande École de Design, propose justement des formations en Bachelor etMastère, accessibles sur concours. 

Deux cursus de formation principaux 

L’EFET STUDIO CRÉA propose deux filières, en Design Graphique & Numérique et en Design & Architecture d’Intérieur. Mais qu’est-ce-que l’on apprend dans ces spécialisations ? 

Le Bachelor de la filière Design Graphique et Numérique vousenseignera les fondamentaux de laconception d’images à visée du grand public, en se basant sur différents enseignements artistiques et ateliers de création appliquée.  

Vous serezégalement formés aux nouvelles techniques liées aux arts appliquées telles quel’impression 3D, la gravure, etc. Les matières enseignées se divisent en 4 grands axes?:la communication visuelle, le numérique, la culture graphique & artistique, le Marketing & la communication. 

Il est possible de faire son cursus en alternance dès la deuxième année et ainsi de se professionnaliser rapidement et de financer ses études. Vous pourrez également poursuivre vos études avec le Mastère Design Graphique & Numérique. 

Le Bachelor de la filièreDesign et Architecture d’intérieur, quant à lui, vous permettra d’acquérirdes 

compétences pratiques liées au design et à l’architecture. Les deux axes principaux de cette filière sontla Conception d’un projet et la Stratégie de communication.Ils englobent les matières suivantes?: Histoire de l’art et de l’architecture, Tracé conventionnel, Technologie du bâtiment, perspective graphique, design de mobilier et d’objet.  

Durant les 3 années de bachelor, vous devrez effectuer des stages de fin d’année. Vous pourrez ensuite faire le choix de l’alternance si vous poursuivez en Mastère Design & Architecture d’Intérieur ou en Mastère Digital Architect. 

Les mastères de ces deux filières constituent une continuation et un réel approfondissement desBachelors. Vous travaillerez sur denombreux projets encadrés par des spécialistes du secteur. 

Plusieurs interventions dans le cadre de séminaires, conférences et visites prennent place tout au longde l’année proposant ainsi un cadre d’apprentissage différent. 

Le Design Project Program 

L’EFET STUDIO CRÉA propose une autre formation accessible dès le bac : le Design Project Program. Il s’agit d’une année vous permettant de découvrir8 disciplines artistiques?: le photographie, l’architectured’intérieur, le merchandising, l’animation 3D, le webdesign, le stylisme, l’audiovisuel et lacommunication visuelle. D’octobre à mi-juin, vous étudierez une discipline par mois environ. A l’issue de cettephase de découverte, débutera la phase d’approfondissementdurant laquelle vous serez amené àchoisirune spécialité que vous étudierez jusqu’à fin juillet. Cela vous permettra de choisir le domaineet l’écoledans lesquelsvous poursuivrez vos études en 2ème année.  

Ainsi, ne vous découragez pas, vous avez encore le temps de choisir votre orientation et de nombreuses possibilités existent en dehors de Parcoursup. 

N’attendez plus et candidatez?! 

Des meubles d’intérieur aux lunettes en passant par les yachts et le champagne, Philippe Starck est partout. Militant du design démocratique et fier de l’éclectisme dans sa pratique, qui est ce designer d’exception ? 

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Philippe Starck : le designer

Philippe Starck naît à Paris en 1949 dans une famille où l’art et la technique sont au premier plan. Son père est concepteur d’avions : le jeune Starck dessine naturellement très tôt. Très imaginatif, il découpe des formes et des figures dans les magazines et fabrique des objets dès le plus jeune âge. 

Très créatif et curieux, il commence ses études de design à l’école Nissim de Camondo et travaille sur ses premières réalisations (structures gonflables en collaboration avec Quasar) qu’il expose au Grand Palais de Paris dès 1969. Pierre Cardin le repère à cette occasion et l’engage pour la création d’une gamme de mobilier. 

Après deux ans aux États-Unis, Strack revient en 1979 à Paris, où il crée sa propre agence Starck Product (qui deviendra Ubik) et rénove même en 1983 la décoration des appartements de l’Élysée. C’est à cette date que le public français découvre le designer, mais c’est avec la rénovation du Café Costes en 1984, c’est l’international qui le découvre. 

La carrière internationale de Philippe Starck ne tarde pas à décoller : Hôtel Royalton en 1988, Nani Nani à Tokyo en 1989, etc.. Très actuel, Starck diversifie les activités de son studio et propose en premier la vente d’objets design par correspondance (en travaillant avec La Redoute en 1998). 

En 2002, Starck signe un coup de génie avec sa chaise Louis Ghost (Kartell), directement inspiré du baroque de Louis XIV. À deux millions d’exemplaires écoulées depuis, c’est un des fauteuils les plus vendus de l’Histoire. 

Philippe Starck : un concept 

Aujourd’hui, l’expression « Philippe Starck » désigne bien plus que le designer en tant qu’individu. C’est devenu une marque, un univers en soi : unique, reconnaissable au premier coup d’œil et la garantie de propositions innovantes. 

Son style, c’est une création constante qui ne se limite pas seulement au design. Très attentif à son impact écologique dès le début de sa carrière, Starck milite pour un design responsable. 

Starck ne perd pas de vue l’essence même de son travail de designer : rendre la vie plus facile au plus grand nombre en bénéficiant des objets les mieux conçus pour répondre aux attentes de chacun. Son travail va donc bien au-delà de l’utilité des objets et s’étend aux domaines les plus variés. Il n’a de cesse d’élaborer des objets « malins » et aux prix les plus abordables possibles. Il revisite le presse-agrumes, proche d’un vaisseau arachnéen et s’adonne à l’art du contraste, notamment dans le choix des formes et des matériaux de ses réalisations architecturales. 

Comme Philippe Starck, pour devenir un grand designer, il faut beaucoup pratiquer et suivre une formation dans un prestigieux établissement spécialisé, à l’instar de l’EFET Studio Créa et de ses cursus d’exception. 

Le style Starck est finalement déconcertant, tant il est diversifié et impossible à catégoriser. Il n’en demeure pas moins que le nom du designer est reconnu dans le monde entier et que chaque nouvelle création est vivement attendue et appréciée du public. 

Shigeru Ban, né en 1957 à Tokyo, souhaite devenir architecte depuis ses 12 ans. Il débute ses études d’architecture à l’Université des Arts de Tokyo puis au Southern California Institute of Architecture de Los Angeles. Il finira par se former à la prestigieuse Cooper School of Architecture de New York, d’où il sort diplômé en 1984. 

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Un architecte humain avant tout

L’exposition Emilio Ambarz à l’Axis Gallery à Tokyo en 1985 lancera la carrière de Shigeru Ban, il y présentera ses créations faites de carton. Parallèlement, toujours la même année, il fonde son agence Shigeru & associates à Tokyo. Il occupera également des postes d’enseignant au sein de plusieurs universités japonaises pendant environ 10 ans. 

On lui attribue le surnom d’architecte de l’urgence humanitaire, car ses travaux sont faits pour venir en aide à des populations touchées par des catastrophes naturelles. 

En 1995, il vient en aide aux victimes du séisme de Kobé, au centre du Japon, en construisant des « Paper Loghouse » : des abris temporaires, résistants aux séismes, peu coûteux et écologiques. Dans le même contexte, il fabrique une « Paper Church » en carton, celle-ci devait être provisoire, mais les habitants ont décidé de la garder. 

La même année, il prend l’initiative de créer une ONG qui propose des habitations temporaires, appelée Voluntary Architect’s Network (VAN).  

Dans le but de procurer des abris d’urgence aux réfugiés climatiques, en 1999, il présente son prototype de maison d’urgence à l’Institut Française d’architecture à Paris. 

Un génie créatif récompensé 

Shigeru Ban est un architecte qui met l’humanité ainsi que l’écologie au cœur de ses projets. Il utilise très souvent des matériaux pauvres (papier, carton, bois, textile, bambou) de façon innovante. Étant très sensible au développement durable, il est pour la conception d’une architecture durable et responsable. De plus, il aime réinterpréter les codes japonais d’une manière sobre et moderne. 

Cette ingéniosité lui a valu de nombreux prix, dont le prix Pritzker en 2014, équivalent d’un prix Nobel d’architecture. L’architecte donne son ressenti face à cet exploit : « J’ai pensé que cette distinction arrivait trop tôt pour moi. À la différence de ceux qui ont déjà obtenu le Prix, auteurs de grandes réalisations, je l’ai non pas perçu comme la reconnaissance d’un accomplissement professionnel, mais plutôt comme une manière de m’encourager. » dit-il. 

En 2022, il reçoit le prix Princesse des Asturies, catégorie concorde, un prestigieux prix espagnol. 

Les constructions de cet « architecte de l’urgence » sont présentes dans le monde entier : cathédrale de Christchurch faite en carton en Nouvelle-Zélande, une Paper Nursery School en Chine ou encore la Seine Musicale dans le nord-est de Paris (Boulogne-Billancourt), le créateur ne connaît aucune limite. 

En 2000, Michel Quinejure, réalise un film en l’honneur de cette grande figure de l’architecture : « Shigeru Ban, architecte de l’urgence ». 

Si vous êtes passionné par l’architecture et souhaitez poursuivre vos études dans ce domaine, l’EFET STUDIO CRÉA est faîte pour vous. Son parcours Design et Architecture d’Intérieur se compose d’un bachelor et d’un mastère qui vous permettront de maîtriser tous les concepts, les logiciels et les techniques nécessaires pour construire votre carrière dans ce domaine. De plus, à l’instar de Shigeru Ban, l’école s’intéresse de près aux procédès qui s’inscrivent dans un schéma de développement durable et propose notamment des Workshops axé sur ce type de contrainte.